En Asie, personne n'a oublié le raz-de-marée dévastateur de 2004. Il y a plus de dix ans, un tsunami semait la mort dans l'océan Indien. Le 26 décembre 2004, une vague dépassant 30 mètres de haut par endroit a emporté plus de 250 000 vies en Indonésie, au Sri Lanka, ainsi qu'à l'ouest de la Thaïlande. Pour Adrien : "C'est toujours compliqué pour moi de parler de ce que j’ai vu là-bas…Voir mourir autant de monde autour de soi et revenir. Il y a cette espèce de culpabilité du rescapé. En décembre 2004, j’étais en vacances en Thaïlande avec ma fiancée. C’était tout à fait comme on peut se l’imaginer : de belles plages, une eau magnifique, un superbe soleil. On avait décidé de partir fêter Noël au soleil. Nous avons été surpris par la catastrophe. Ma fiancée et moi étions dans notre bungalow quand j’ai entendu un énorme bruit. J’ai ouvert la porte et une onde gigantesque m’a frappé de plein fouet. C’est surtout la violence du choc qui m’a marqué. C’est toute la mer qui est montée avant de se retirer. Tout est reparti avec la vague. C’était le chaos total. Le flux et le reflux de l’eau ont tout emporté avec une violence incroyable. Des débris nous arrivaient dessus. Il nous fallait absolument rester debout si nous ne voulions pas être emportés, mais c’était comme se retrouver dans un torrent en furie. Cela a peut-être duré cinq minutes, c’est difficile à estimer. Quand je me suis retourné, Sarah avait disparu… Il y avait beaucoup de familles. Les parents criaient pour trouver leurs enfants. Il y avait des bébés emportés, des fractures ouvertes, des personnes en état de choc et moi qui cherchait Sarah désespérément. C’était la panique totale. J’ai pris conscience que je devais me protéger, me mettre à l’abri d’une seconde vague. J’ai décidé de rejoindre le haut de la colline, peut-être que Sarah avait eu la même idée. En arrivant sur la colline, j’ai essayé de la retrouver sans succès. Nous étions tous apeurés, déboussolés, en état de choc. J’ai voulu redescendre près des maisons pour voir si je pouvais sauver des gens et retrouver Sarah. J’en ai été incapable et je m’en veux terriblement, même encore aujourd’hui. Je ne me cherche aucune excuse mais j’ai compris qu’il est difficile de prévoir certaines réactions avant de les vivre vraiment. Je suis reparti pour la France seul. Une fois rentré, je me suis demandé ce que je faisais là. Quelques semaines plus tard, j’ai appris qu’une association venait en aide aux habitants et à la reconstruction de l’île. J’ai donc décidé de repartir. Ma place était là-bas. Ce que je n’ai pas pu faire sur le moment, je l’ai fait après, pour toutes ces personnes qui m’ont aidé et pour la mémoire de Sarah ».
Je n’avais jamais vraiment cru aux histoires de fantômes. Pour moi, Halloween n’était qu’une fête de plus, l’occasion de se déguiser et de manger des bonbons. Jusqu’à cette nuit-là, il y a cinq ans. Depuis, je ne célèbre plus Halloween de la même manière. Ce qui m’est arrivé cette nuit-là a bouleversé ma vision du monde et m’a rapprochée de la médiumnité d’une manière que je n’aurais jamais imaginée. Tout a commencé par une simple invitation. Ma meilleure amie Sarah m’a proposé de passer Halloween chez elle, dans l’ancienne maison familiale qu’elle venait de rénover. Cette maison avait une réputation dans le quartier : on racontait que des phénomènes étranges s’y produisaient, mais je n’y avais jamais prêté attention. Après tout, ce genre d’histoires circule dans tous les vieux quartiers, non ? Curieuse et un peu excitée, j’ai accepté l’invitation. La soirée s’est déroulée dans la bonne humeur. Déguisements, musique, citrouilles sculptées… L’ambiance était légère et festive. À un moment, Sarah a voulu faire une séance de spiritisme, « pour rigoler ». Nous avons rassemblé quelques bougies, sorti un vieux jeu de tarot et nous nous sommes assises autour de la table. Je ne savais pas encore que cette décision changerait tout. Dès les premières minutes, j’ai ressenti un froid glacial dans la pièce. J’ai regardé Sarah, elle semblait aussi mal à l’aise que moi. Pourtant, on a continué. J’ai posé mes mains sur le jeu de tarot et j’ai senti une étrange vibration parcourir mes doigts. Sarah a tiré la première carte : La Lune. Puis une seconde : La Mort. J’ai essayé de rire pour détendre l’atmosphère, mais un frisson m’a parcouru l’échine. C’est à ce moment-là que j’ai entendu un murmure. Un souffle, à peine audible, qui prononçait mon nom. Je me suis figée. Sarah m’a regardée, les yeux écarquillés. Elle n’avait rien entendu. Mais moi, c’était clair, limpide. Quelqu’un m’appelait. Comme si j’étais attendue. J’ai fermé les yeux et, sans savoir pourquoi, j’ai murmuré : « Qui est là ? » Immédiatement, une bougie s’est éteinte. La pièce s’est plongée dans une pénombre étrange, et j’ai ressenti une présence tout près de moi. Le froid s’est intensifié, mais je n’étais plus terrifiée. J’étais comme si cette entité voulait me rassurer, me dire que tout irait bien. C’est alors que j’ai vu, derrière mes paupières closes, une image nette : une femme aux cheveux longs, vêtue d’une robe ancienne. Elle m’a montré un médaillon, et j’ai su, je ne sais pas pourquoi, que c’était celui de ma grand-mère. Un bijou qu’elle avait perdu des années avant sa mort. Elle voulait que je le retrouve, comme si ce médaillon était la clé d’un secret oublié. Sarah, qui n’avait rien vu, m’a demandé si tout allait bien. J’ai balbutié quelques mots, incapable de lui expliquer ce que je venais de vivre. Le lendemain, encore troublée, j’ai fouillé mes affaires et, au fond d’un tiroir, j’ai trouvé un vieux médaillon. Celui de ma grand-mère. La même image que celle que j’avais vue. Depuis cette nuit-là, je sais qu’Halloween est bien plus qu’une fête, c’est un portail entre les mondes, un moment où l’au-delà cherche à entrer en contact avec nous. Depuis, je célèbre Halloween d’une manière différente. Je ne me contente plus de costumes et de citrouilles, j’allume des bougies, je médite, et j’écoute. Je suis convaincue que nous avons tous des messages à recevoir si nous prenons le temps de tendre l’oreille.
Je m'appelle Sophie, j'ai 34 ans, et pendant deux ans, j'ai été manipulée par mon psychiatre. C'est une histoire que je n'aurais jamais imaginé vivre, et pourtant, elle est devenue une part douloureuse de ma réalité. Il y a trois ans, suite à une rupture amoureuse difficile, j'ai décidé de consulter un psychiatre. C'était la première fois que je faisais cette démarche, et j'espérais trouver un soutien pour traverser cette période sombre. Lors de notre première séance, le Dr M. m'a tout de suite mise à l'aise. Son écoute attentive et ses paroles rassurantes ont été un baume pour mon cœur meurtri. Je me suis rapidement sentie en confiance. Au fil des séances, je suis devenue de plus en plus dépendante de ses conseils. Il m'encourageait à partager mes pensées les plus intimes, mes peurs, mes rêves. J'avais l'impression qu'il me comprenait mieux que quiconque. Peu à peu, je me suis isolée de mes amis et de ma famille, suivant aveuglément les recommandations du Dr M. Il me disait que c'était nécessaire pour mon "processus de guérison". C'est après plusieurs mois que les choses ont commencé à prendre une tournure inquiétante. Le Dr M. devenait de plus en plus critique à l'égard de mes décisions, me faisant sentir que j'étais incapable de faire les bons choix sans son aide. Il contrôlait de plus en plus d'aspects de ma vie, allant jusqu'à me dire comment gérer mes finances ou avec qui je devais interagir. J'étais vulnérable et lui faisais une confiance aveugle. Le déclic est venu un jour où, après une séance particulièrement éprouvante, une amie d'enfance m'a appelée. Elle m'a fait réaliser à quel point j'avais changé, à quel point j'étais devenue dépendante de ce psychiatre. Ses mots ont fait écho en moi, et j'ai commencé à voir la manipulation. J'ai pris la décision, difficile, de ne plus consulter le Dr M. Ce fut un processus long et douloureux de me reconstruire et de réapprendre à faire confiance. Aujourd'hui, je souhaite partager mon histoire pour alerter ceux qui pourraient se trouver dans une situation similaire. Les professionnels de la santé mentale sont censés nous aider, pas nous contrôler. Il est crucial de rester vigilant et de ne jamais oublier que nous sommes les maîtres de notre propre vie. Pour ceux qui, comme Sophie, cherchent un soutien sincère et bienveillant, nous vous encourageons à consulter nos voyants et médiums. Ils sont là pour vous écouter et vous guider sans jugement ni manipulation.
L'amour, cette grande aventure mystérieuse et imprévisible. À 30 ans, je pensais avoir tout compris sur le sujet. J'avais connu des histoires passionnées, des ruptures douloureuses et des moments de doute. Mais jamais je n'aurais imaginé qu'une relation libre pourrait me mener vers une envie d'engagement. Quand Marc et moi nous sommes rencontrés, notre attirance était immédiate. Cependant, nos vies professionnelles et nos aspirations personnelles rendaient toute perspective de relation traditionnelle compliquée. Nous avons donc décidé d'adopter un modèle de couple libre. Cette décision, loin d'être prise à la légère, répondait à une volonté commune d'expérimenter une autre forme d'amour, plus ouverte, plus honnête. Les premiers mois ont été un tourbillon d'émotions. La jalousie a fait surface plus souvent que je ne l'aurais voulu. Voir Marc avec une autre femme me retournait l'estomac. Mais petit à petit, j'ai appris à apprivoiser cette jalousie. J'ai compris que mon insécurité ne provenait pas de ses actes, mais de mes propres insécurités. J'ai appris à communiquer, à exprimer mes sentiments sans crainte de jugement. Marc faisait de même, et notre complicité s'en trouvait renforcée. Ce que je n'avais pas anticipé, c'était l'effet miroir de cette liberté. En me confrontant à mes peurs, en explorant mes envies, j'ai découvert une partie de moi-même que je ne soupçonnais pas. J'ai appris à me connaître, à comprendre mes besoins et mes limites. J'ai également appris à redécouvrir Marc sous un nouveau jour. Son ouverture d'esprit, sa capacité à m'écouter sans jamais juger, ont révélé des aspects de sa personnalité que je n'avais pas encore perçus. Ces expériences extérieures, loin de nous éloigner, nous ont rapprochés. Nous revenions toujours l'un vers l'autre avec une envie renouvelée de partager et de construire. Nous avons compris que notre relation était un espace de sécurité, où chacun pouvait être soi-même sans peur de l'abandon ou de la trahison. C'est au fil de cette exploration que mon désir d'engagement s'est imposé à moi. Les expériences vécues en dehors de notre couple m'ont fait réaliser la valeur inestimable de ce que nous partagions. Cette liberté m'a permis de voir notre relation comme un choix et non comme une contrainte. Un soir, j'ai proposé à Marc de revoir notre modèle de relation. Nous avons convenu de redéfinir les termes de notre couple, en y incluant des engagements plus traditionnels : la fidélité émotionnelle, un projet de vie commun, et pourquoi pas, un mariage. Aujourd'hui, Marc et moi sommes toujours ensemble, plus unis que jamais. Nous avons compris que l'engagement n'est pas l'opposé de la liberté, mais son complément. Notre relation est basée sur le respect mutuel, la communication ouverte, et une profonde confiance. Nous savons que nous avons choisi de nous engager, non par obligation, mais par envie et par amour. Ce témoignage nous apprend que l'amour ne se conforme pas à des règles préétablies. Chaque couple est unique, il n'existe pas de modèle universel. Pour Marc et Stéphanie, la liberté a été le chemin vers un engagement plus authentique et plus profond.
L'amour, c'est souvent des montagnes russes d'émotions. On pense avoir tourné la page, puis soudain, la vie nous réserve un de ces tours inattendus. C'est ce qui est arrivé à Célia, qui, après 7 mois de séparation, a pris une décision aussi surprenante que bouleversante retourner vivre avec son ex. « Aujourd'hui, je partage avec vous une étape importante de ma vie, une expérience à la fois bouleversante et riche d'apprentissage : mon retour à la vie avec mon ex. C'était un choix que je n'avais jamais envisagé sérieusement, une idée qui semblait lointaine et presque impossible. Pourtant, après de longues réflexions, des conversations sincères et beaucoup de remises en question, j'ai décidé de suivre mon cœur et de donner une nouvelle chance à notre histoire. Revenir vivre avec Hugo, c'est comme ouvrir un livre que l'on pensait avoir refermé pour de bon. Les premiers chapitres sont familiers, chargés de souvenirs et d'émotions. Mais au fil des pages, on découvre de nouveaux paragraphes, des nuances insoupçonnées, une histoire qui évolue et se transforme. Bien sûr, ce n'est pas toujours facile. Il y a des moments de doute, des peurs qui resurgissent, des cicatrices qui tardent à se refermer. Mais il y a aussi de la tendresse, de la complicité retrouvée, et surtout, un amour qui refuse de s'éteindre. Revenir vivre avec Hugo, c'est un pari sur l'avenir, un acte de foi en notre capacité à grandir ensemble, à surmonter les obstacles et à construire quelque chose de nouveau et de beau. C'est une décision personnelle qui a eu du mal à être comprise par ma famille et mon entourage mais peut importe parce que je sais que j’ai fait le bon choix. Alors, si vous vous trouvez dans une situation similaire, nous vous encourageons à écouter votre cœur et les conseils avisés des voyants et médiums d’Etoile de Vénus.
Dans un monde en constante évolution, il est parfois facile de catégoriser les gens en fonction de leur apparence ou de leur profession. Mais ce que nous oublions souvent, c'est que derrière chaque visage se cache une histoire unique, pleine de nuances et de surprises. Cette histoire, c’est celle de Sébastien, celle d’un homme qui défie les conventions et brise les stéréotypes. Il jongle entre deux mondes apparemment opposés, mais pourtant si intimement liés. « Je m'appelle Sébastien et je suis banquier. Dans ce monde de chiffres et de transactions, je suis connu pour ma rigueur et mon professionnalisme. Mais dès que la nuit tombe, je me transforme en Vita, un drag Queen audacieuse et vibrante. Je sais que pour beaucoup de gens, ces deux aspects de ma vie semblent inconciliables. Comment un banquier sérieux peut-il aussi être un drag Queen exubérante ? C'est une question que j'ai souvent entendue, et je comprends parfaitement les apparences peuvent être trompeuses. Pourtant, pour moi, ces deux identités ne sont pas des rôles que je joue, mais des parties intégrantes de qui je suis. Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours été attiré par la créativité et l'expression de soi sous toutes ses formes. Et lorsque j'ai découvert l'art du drag, j'ai immédiatement su que c'était une partie de moi que je devais explorer. En tant que Vita, je me sens pleinement vivant. Je peux laisser libre cours à ma créativité, à ma passion et à ma joie de vivre d'une manière qui m'est propre. Sur scène, je suis libre d'être moi-même, sans aucune inhibition ni contrainte. Et c'est une sensation incomparable. Bien sûr, jongler avec deux mondes peut parfois être difficile. Il y a des jours où je me sens déchiré entre mes responsabilités professionnelles et mes passions personnelles. Mais au final, je sais que ces deux aspects de ma vie se complètent et se nourrissent mutuellement. Ma vie est un témoignage de la possibilité de vivre authentiquement et pleinement, sans se conformer aux attentes de la société ou aux conventions rigides. Que ce soit en costume-cravate ou en paillettes et talons hauts, je suis fier de briller de toute ma splendeur ! » Tout comme Sébastien, nous vous invitons à vous ouvrir à toutes les facettes de votre être. C'est dans la diversité et la singularité de chacun que réside la véritable beauté de notre monde. N’oubliez pas que nos voyants et médiums peuvent vous aider à trouver votre propre chemin.
Aujourd'hui, nous souhaitons partager avec vous une histoire personnelle, une histoire qui a façonné la femme qui est devenu aujourd'hui Mariam, femme française d’origine afghane. Une histoire de courage, de résilience, et surtout, d'échappement à un destin qu’elle n'avait pas choisi. « Il y a quelques années, j'étais une jeune femme pleine de rêves et d'ambitions. Mais ces rêves semblaient s'éloigner à mesure que ma famille préparait un mariage que je ne voulais pas. Un mariage arrangé, un mariage forcé. Tout semblait être décidé pour moi : le lieu, la date, même le nom de celui qui serait mon époux. J'étais comme une poupée dans un jeu que je ne contrôlais pas, une marionnette dont les fils étaient tirés par des mains invisibles. La pression était immense, venant non seulement de ma famille mais aussi de la société, des traditions, de ce poids invisible mais si lourd sur les épaules des femmes dans certaines cultures. On me disait que c'était pour mon bien, pour ma sécurité, pour l'avenir de ma famille. Pourtant, au fond de moi, je savais que ce n'était pas mon chemin. Je sentais que mon âme criait de liberté, que mon cœur refusait de se soumettre à un destin qui n'était pas le mien. Mais comment échapper à cette toile tissée autour de moi depuis ma naissance ? Lorsque je suis rentrée au pays pour les vacances scolaires, j'ai découvert que mes parents avaient déjà arrangé ce mariage. C'était comme un coup de poignard dans le cœur, une trahison de mes propres rêves et aspirations. La séparation était difficile, déchirante. Mais chaque larme versée était une affirmation de ma propre valeur, de ma propre voix. J'ai pris la décision de fuir, de quitter cet environnement oppressant pour trouver ma propre voie. Ce n'était pas facile, loin de là. Mais chaque pas vers ma liberté était une victoire sur mes peurs et sur les limites imposées par d'autres. Aujourd'hui, je suis libre. Libre de choisir qui je veux être, de suivre mes rêves, de construire ma vie selon mes propres valeurs et désirs. » Si vous vous trouvez dans une situation similaire, si vous ressentez au fond de vous le besoin de prendre votre destin en main, nous vous encourageons à écouter votre intuition. Vous méritez d'être libre, d'être heureuse, d'être vous-même. Prenez ce premier pas vers la liberté, appelez nos voyants au 01 44 88 54 54 et laissez-vous guider vers la vie que vous méritez !
Il y a quelques années, Aurore a vécu une expérience aussi tumultueuse que déchirante, une histoire d'amour inattendue qui a ébranlé les fondations de son mariage à venir : « À l'époque, tout semblait parfait. J'étais follement amoureuse de mon fiancé, nous avions planifié chaque détail de notre mariage. Mais alors que les jours défilaient avant le grand jour, une ombre sombre s'insinuait dans mon esprit et dans mon cœur. Tout a commencé innocemment, par une rencontre fortuite avec un vieil ami de lycée. Nous nous sommes retrouvés lors d'une soirée entre amis et dès que nos regards se sont croisés, j'ai senti que quelque chose se passait entre nous. Bien qu'il ait changé depuis le lycée, il y avait quelque chose en Julien qui était resté inchangé, quelque chose qui résonnait en moi d'une manière que je n'avais pas ressentie depuis longtemps. Au fil des jours qui ont suivi, nos chemins se sont croisés à plusieurs reprises, et chaque fois, la connexion entre nous semblait se renforcer. Des conversations profondes aux regards furtifs chargés de sens, je me suis retrouvée irrémédiablement attirée vers lui, malgré mes efforts pour réprimer mes sentiments naissants. C'était un véritable tourbillon émotionnel. D'un côté, il y avait mon fiancé, celui que j'avais choisi de passer ma vie avec, celui que j'aimais de tout mon cœur. De l'autre côté, il y avait Julien, un fantôme du passé qui avait ravivé des sentiments que je pensais avoir enterrés depuis longtemps. Et puis, il y a eu cette nuit où tout a basculé. Nous nous sommes retrouvés seuls, Julien et moi. Nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser passionné, et pour un instant, j'ai perdu pied dans un tourbillon d'émotions contradictoires. Ce baiser a été à la fois la plus belle et la plus douloureuse expérience de ma vie. J'ai réalisé la profondeur de mes sentiments pour Julien, mais j'ai également pris conscience de la trahison que cela représentait envers mon fiancé, notre amour et nos promesses faites. Les jours qui ont suivi ont été difficiles. Je me sentais déchirée entre deux chemins diamétralement opposés. D'un côté, il y avait la sécurité et la stabilité de mon mariage à venir et de l'autre, l'incertitude et l'excitation d'une passion interdite. Après de longues nuits d'insomnie, j'ai pris la décision la plus difficile de ma vie. J'ai choisi de mettre fin à mon engagement et d'explorer ce que l'avenir pourrait me réserver avec Julien. Même si cette décision n'a pas été facile à prendre, au fond de mon cœur, je savais que c'était la chose à faire. Je devais suivre mon cœur. Aujourd'hui, je ne regrette pas un seul instant cette décision. Même si le chemin n'a pas été facile, il m'a conduit vers une vie où je suis libre de suivre mes propres rêves et aspirations tout en restant fidèle à moi-même ». L’histoire d’Aurore peut sembler singulière, mais nous savons qu’elle n’est pas la seule. Si vous vous trouvez dans une situation similaire, nous vous encourageons à consulter nos voyants au 01 44 88 54 54 qui pourront vous aider à écouter votre cœur, à suivre votre propre chemin, même si cela signifie marcher seul pendant un certain temps.
Je m'appelle Sophie, j'ai 53 ans, et je suis une mère de deux jeunes adultes qui ont récemment quitté le nid familial pour poursuivre leurs propres rêves. Je les ai soutenus dans leurs choix, fière de leurs réussites, mais à mesure que mes enfants s'envolaient, je me suis retrouvée confrontée à ce que l'on appelle le "syndrome du nid vide". Le syndrome du nid vide, c'est ce sentiment d'isolement et de perte que de nombreux parents ressentent lorsque leurs enfants quittent la maison. C'est comme si une partie de vous-même disparaissait, je me sentais soudainement déconnectée de mon rôle de mère et vous vous demandez comment combler ce vide soudain et reprendre ma vie en main. Les journées me semblaient longues et je me suis demandé comment remplir ce vide laissé par leur départ. Je ne m'attendais pas à ressentir une telle vacuité. J'ai passé des années à m'occuper d'eux, à veiller à leurs besoins et à partager leurs joies et leurs peines. Soudainement, ma maison était silencieuse. Je me suis sentie perdue comme beaucoup d’autres femmes. J'ai cherché des réponses à ce que je ressentais. J'ai lu des livres sur le syndrome du nid vide et discuté avec d'autres parents qui traversaient la même période. J'ai compris que ce que je vivais était une étape normale de la vie. Petit à petit, j'ai réalisé que cette période de transition pouvait aussi être une opportunité de découvrir de nouvelles passions et de me recentrer sur moi. J'ai commencé à pratiquer le yoga, à suivre des cours de peinture et j'ai même entrepris de voyager seule. Ces activités m'ont aidée à retrouver un sentiment de moi-même en dehors de mon rôle de mère. Au cours de cette période, j'ai également découvert la voyance comme une source de soutien précieuse. Les voyants m'ont aidée à comprendre les changements qui se produisaient dans ma vie et m'ont donné des conseils pour surmonter les défis qui se présentaient à moi. Leur compréhension et leur guidance m'ont apporté une grande sérénité. Aujourd'hui, je peux dire que j'ai repris ma vie en main. Le syndrome du nid vide a été une période difficile mais il m'a également permis de me réinventer. J'ai découvert de nouvelles facettes de ma personnalité. J'ai finalement trouvé un équilibre entre ma vie de mère et ma vie personnelle. Pour tous ceux qui vivent la même chose, sachez que vous n'êtes pas seuls dans cette transition et il y a des ressources et du soutien disponibles pour vous aider. Le plus important est de vous donner la permission de vous recentrer sur vous, de poursuivre vos passions et de découvrir de nouveaux horizons. Le "syndrome du nid vide" peut être un moment de transformation personnelle et de redécouverte. Si vous cherchez des réponses ou du soutien pour surmonter cette période, je vous encourage à explorer des ressources comme la voyance, qui peuvent vous apporter une clarté et une perspective nouvelles.
Une expérience personnelle a changé la perspective sur les rêves et leur pouvoir révélateur pour Samuel. Comme beaucoup d'entre vous, Samuel a toujours été intrigué par les mystères de la nuit, par ces mondes oniriques qui s'ouvrent lorsque nous fermons les yeux. Mais c'est un rêve particulier qui a éveillé sa curiosité et l'a poussé à plonger plus profondément dans l'art de l'interprétation des rêves. Il nous raconte : Il y a quelques mois, j'ai fait un rêve étrange et vibrant de sens. Dans ce rêve, je marchais à travers un jardin luxuriant, rempli de fleurs aux couleurs vives. Au milieu du jardin, une fontaine en marbre blanc jaillissait d'eau cristalline. Alors que je m'approchais de la fontaine, j'ai vu un miroir posé sur son rebord, reflétant le ciel étoilé. C'était un rêve court mais qui a laissé une impression indélébile dans mon esprit. Ce rêve m'a amené à me poser de nombreuses questions : Quel était le sens de ce jardin, de cette fontaine et de ce miroir ? Pourquoi ai-je rêvé de ces éléments spécifiques ? C'est là que j'ai commencé ma quête pour comprendre le langage des rêves et découvrir ce que mon esprit tentait de me dire. L'interprétation des rêves repose sur la compréhension des symboles et des métaphores. Dans mon rêve, le jardin vibrant de couleurs pouvait symboliser la vie, la croissance et la créativité. La fontaine, quant à elle, était peut-être un symbole de purification ou de renouveau. Mais c'était le miroir qui a retenu mon attention. Il semblait refléter le ciel étoilé, un symbole de rêves et d'aspirations. En explorant ces symboles, j'ai commencé à comprendre que mon rêve était une invitation à la réflexion intérieure. Le jardin représentait les aspects de ma vie où je devais cultiver la créativité et la croissance. La fontaine indiquait un besoin de purification ou de renouveau, peut-être un moment pour me débarrasser de ce qui ne me servait plus. Et le miroir me rappelait l'importance de me connecter à mes rêves et à mes aspirations profondes. Pour aller plus loin dans mon interprétation, j'ai décidé de consulter un médium d'Étoile de Vénus. Ce fut une expérience révélatrice. Ce médium a offert des perspectives précieuses sur les symboles de mon rêve, en ajoutant des éléments que je n'avais pas considérés. Le jardin, a-t-elle expliqué, représentait également les relations interpersonnelles, tandis que la fontaine symbolisait la guérison émotionnelle. Le miroir, quant à lui, était un appel à l'introspection profonde. Cette expérience m'a enseigné que l'interprétation des rêves n'est pas seulement un exercice intellectuel, mais aussi une exploration intuitive de notre propre esprit. Nos rêves sont un miroir de notre psyché et chaque détail peut contenir un message important pour notre vie éveillée. J'encourage chacun d'entre vous à écouter vos rêves, à explorer les symboles qui émergent et à considérer les messages qu'ils pourraient porter. Si vous vous sentez perdu dans le labyrinthe de vos rêves, n'hésitez pas à solliciter l'aide bienveillante de nos voyants et médiums au 0144885454. Ils peuvent être des guides précieux dans ce voyage fascinant vers la compréhension de soi.
Je m'appelle Eva, et je tiens à partager mon histoire avec vous aujourd'hui. Il s'agit d'un voyage qui a changé ma vie, et j'espère qu'il vous inspirera comme il m'a inspirée. Il y a quelques mois, je me trouvais à un tournant de ma vie où je cherchais un sens, une direction à prendre. Les défis de la vie semblaient déroutants et j'avais besoin de clarté. C'est à ce moment-là que la voyance et la Pleine Lune ont croisé mon chemin. J'ai découvert que la Pleine Lune était bien plus qu'un simple phénomène astronomique. C'est une source d'énergie et d'opportunités, une période spéciale où l'univers semble prêt à écouter nos désirs les plus profonds. Guidée par des voyants expérimentés, j'ai commencé à travailler avec cette énergie. Avec l'aide de guides spirituels et de voyants bienveillants, j'ai appris à créer des intentions claires et significatives pendant la Pleine Lune. Ces intentions étaient comme des étoiles que je plaçais dans le ciel, chacune représentant un désir, un objectif, une aspiration. Au fur et à mesure que les mois passaient, j'ai été témoin de résultats étonnants. Ma carrière a pris un tournant positif, ma confiance en moi s'est renforcée et une paix intérieure que je n'avais jamais connue auparavant est apparue. C'était comme si l'univers conspirait enfin en ma faveur. La voyance a été mon roc tout au long de ce voyage. Grâce à des professionnels bienveillants, j'ai pu explorer des aspects de moi-même que j'avais négligés, identifier des blocages émotionnels et spirituels et les libérer progressivement. C'était comme si j'avais un phare pour m'éclairer dans l'obscurité. L'histoire d'Eva n'est pas unique et c'est pourquoi nous la partageons aujourd'hui. Si vous vous sentez perdus, si vous avez des rêves que vous souhaitez réaliser, nous vous encourageons à explorer la voyance pendant la Pleine Lune. Vous pourriez être surpris par les transformations positives qui vous attendent. Contactez nos voyants expérimentés au 01 44 88 54 54. Restez ouverts d'esprit, faites confiance à l'univers et rappelez-vous que les étoiles et la lueur de la Pleine Lune sont là pour vous guider !
Vous rêvez de quitter la capitale pour un changement de vie radical ? Aurélie l’a fait ! Après le confinement, elle est partie s'installer avec son mari et ses deux enfants à la campagne pour apprendre à faire pousser les légumes. Le confinement a été une période compliquée. Enfermés à 3 dans un petit appartement dans Paris en télétravail et en gérant également les petits en bas âges, nous a poussé à prendre une décision radicale : fuir la capitale pour un retour à la nature, une vie plus saine et sereine. Au cours du confinement, nous avons pris le temps de chercher une maison avec un grand terrain à la campagne. Dés qu'on a trouvé, j'ai donné aussitôt ma démission et le préavis de l'appartement. Mon mari, lui travaille déjà à distance alors de n'était pas un problème. L'urgence était de reconcevoir la manière toute entière dont nous vivons. Faire pousser ne serait-ce qu’une partie de notre nourriture, c’est faire un pas dans la direction opposée à l’agriculture conventionnelle, aux plats préparés de l’industrie agro-alimentaire et aux supermarchés. Mais la permaculture va bien plus loin. Transformer notre maison nous permet aussi de profiter des flux naturels d’énergie et d'amorcer la guérison de notre dépendance maladive aux énergies fossiles. Nous sommes plus que jamais à la recherche de ce qui est efficace pour être à nouveau en harmonie avec la planète. On a pris le pari en famille d’essayer de régénérer la terre, et de faire attention au vivant, qu’il soit végétal, animal ou humain. Je suis convaincue qu’un apprentissage à l’autonomie et une mutualisation des savoirs et des outils (open source, coopérative, jardins partagés, etc…) sont les clefs pour vivre mieux. Nous avons maintenant plusieurs mois de recul. Je suis complètement épanouie à faire pousser les légumes. Je rencontre de nouvelles personnes aux parcours atypiques, je mets les mains dans la terre, je caresse les animaux, je prends des coups de soleil sur le nez (rires). Je me sens vraiment en phase avec cette nouvelle vie. Si c'était à refaire, non seulement je signerai à nouveau mais je le ferai bien plus tôt ! Nous offrons une nouvelle vie et de nouvelles perspectives à nos enfants. Vous rêvez vous aussi d'un changement de vie ? Vous avez du mal à passer le pas ? N'hésitez pas à contacter les voyants et médiums d'Etoile de vénus au 01 44 88 54 54. Ils vous aideront à prendre la bonne décision.
C'est avec une immense tristesse que nous vous annonçons le décès de Nick. Nick était sans nul doute un grand médium, un artiste créatif mais avant tout ce que nous retiendrons de lui, c’était son humanité, sa bienveillance et sa générosité. Il percevait la voyance comme un "don du ciel" mais sa présence était à elle seule un cadeau pour nous tous. Nous remercions le destin d'avoir fait en sorte que nos chemins se croisent et gardons dans le creux de nos cœurs son chaleureux souvenir. Nous lui rendons hommage en vous partageant une des ses oeuvres. Camille Le secrétariat d’Etoile de Vénus souhaite également témoigner et lui rendre hommage : Nous sommes bouleversés par cette soudaine perte et il nous est difficile de trouver les mots justes pour exprimer notre tristesse. Nous retiendrons sa joie de vivre et sa bonne humeur qu'il aura toujours conservé malgré les épreuves. Nous n'oublierons jamais son incroyable personnalité ainsi que les anecdotes qu'il prenait plaisir à nous faire partager. Sa gentillesse et son rire nous manquent déjà... Il restera dans nos cœurs et nos souvenirs. Dans cette période difficile, toutes nos pensées vont à sa famille et à ses proches. L'équipe du Secrétariat. Ses collègues et amis ont également été nombreux à exprimer leur tristesse et leur soutien à sa famille, comme en témoigne Antoine Ducerf avec ses quelques mots : C'est avec tristesse que j'apprends le décès de Jean-Paul (alias Nick). Je viens transmettre toute ma sympathie à sa famille. Je reconnais chez Nick son professionnalisme et chez Jean-Paul, l'artiste. Chaleureusement. Antoine
En France, on compte environ 6000 coupeurs de feu en activité. Certains interviennent de chez eux alors que d’autres exercent dans des cabinets dédiés. Michel, lui exerce son don à l’hôpital, au service des cancéreux. Ses soins s’appliquent lors des radiothérapies, qui peuvent brûler les tissus traversés ou pour les effets pénibles de la chimiothérapie. "Cette pratique consiste à aspirer les brûlures du patient et apaiser ses douleurs » explique Michel. Il est capable d’apaiser les brûlures et les douleurs intenses par une simple imposition de ses mains : « Je manipule les énergies du corps pour aider les personnes souffrantes à surmonter leur douleur. Le patient peut sentir une amélioration partielle ou totale, sur une durée plus ou moins longue. Cela dépend des cas et de la nature des douleurs". Je m'appuie sur la force de ma pensée, sur des prières ou encore sur la position de mes mains. Je pose mes mains sur ou au-dessus de la zone brûlée, en récitant des prières spécifiques. Je sens alors une chaleur plus ou moins excessive en fonction de l’intensité de la brûlure. Je continue le soin jusqu’à avoir une sensation de froid intérieur, qui signifie que la chaleur est sortie du corps du patient. J’ai ensuite besoin de passer mes mains rapidement sous l’eau froide. C’est comme si j’avais aspiré la chaleur, mes mains me brûlent presque. Ce don vient de ma grand-mère qui m'a transmis une prière, assortie d’un signe de croix, pour « conjurer le feu ». Aujourd’hui, je fais parti de la liste des « coupeurs de feu » de l’hôpital local et j’en suis fier. Je suis heureux lorsque j’arrive à soulager une personne. Je mets mon don à la disposition des autres gratuitement. J'aspire à aider mon prochain.
Il y a quelques années, j'aurais ri si quelqu'un m'avait dit que je consulterais un voyant pour trouver des réponses à mes questions existentielles. Cartésienne et pragmatique, j'étais loin d'imaginer à quel point la voyance allait bouleverser ma vie. Tout a commencé lors d'une période sombre de ma vie. Après une rupture douloureuse et la perte de mon emploi, je me suis retrouvée perdue, sans repères. Ma famille, bien que présente, ne comprenait pas mon mal-être. "Tu es jeune, tu retrouveras quelqu'un et un autre travail", me disaient-ils. Mais au fond de moi, c'était comme si un voile sombre avait recouvert mon âme. Un soir, lors d'une soirée entre amis, une amie m'a parlé de son expérience avec un médium. Elle m'a raconté comment, grâce à lui, elle avait pu surmonter le deuil de son père et retrouver un sens à sa vie. Intriguée, j'ai décidé de tenter l'expérience. La première consultation a été une révélation. Le médium a su lire en moi comme dans un livre ouvert. Il a évoqué des souvenirs d'enfance, des blessures que je croyais enfouies. Il m'a parlé de mon avenir, de mes aspirations profondes et de ma quête spirituelle. J'étais bouleversée. Au fil des séances, j'ai appris à lâcher prise, à écouter mon intuition et à me reconnecter à mon moi intérieur. J'ai découvert la méditation, la lithothérapie et d'autres pratiques spirituelles qui m'ont aidée à retrouver un équilibre. La voyance m'a également permis de renouer des liens avec ma famille. J'ai compris que chacun avait sa propre manière d'exprimer son amour et son soutien. J'ai appris à communiquer, à partager mes ressentis et à écouter ceux des autres. Aujourd'hui, je suis une femme épanouie. J'ai retrouvé un travail qui me passionne, et je suis en couple avec un homme merveilleux. Mais surtout, j'ai trouvé la paix intérieure. Je sais que la vie est faite de hauts et de bas, mais je suis armée pour affronter les tempêtes. La voyance a été pour moi une porte vers un monde spirituel riche et profond. Elle m'a offert des clés pour comprendre mon passé, vivre pleinement mon présent et envisager sereinement mon avenir. Si je devais donner un conseil à ceux qui hésitent à consulter un voyant, ce serait de suivre leur intuition. La voyance est un outil précieux pour qui sait l'écouter. Elle nous guide, nous éclaire et nous aide à avancer sur le chemin de la vie. Chaque expérience est unique, et il est important de choisir un professionnel sérieux et reconnu si vous souhaitez consulter. Contactez nos voyants et médiums experts au 01 44 88 54 54 !
Sarah, une trentenaire passionnée de voyance et d'astrologie, a toujours été intriguée par les étoiles depuis son enfance. Mais ce n'est que récemment qu'elle a découvert à quel point l'astrologie pouvait avoir un impact positif sur sa vie. "C'était comme si j'avais enfin trouvé un chemin pour comprendre qui je suis vraiment", dit-elle avec un sourire. Sa première rencontre avec l'astrologie a eu lieu lors d'une séance de voyance, où un astrologue a dressé son thème astral. Sarah se souvient : "J'étais sceptique au début, mais quand l'astrologue a commencé à me parler de ma personnalité, de mes forces et de mes faiblesses, j'ai été étonnée de la précision de ses observations." À partir de ce moment, Sarah est devenue une étudiante assidue de l'astrologie. Elle a commencé à explorer son propre thème astral et à approfondir sa compréhension des signes du zodiaque, des maisons astrologiques et des aspects planétaires. "Chaque découverte m'a permis de me connaître un peu mieux", dit-elle. "L'astrologie m'a donné des outils pour travailler sur moi-même et pour comprendre pourquoi je réagis de certaines manières dans différentes situations." Elle a exploré les différents aspects de son thème astral, plongeant dans la signification de son signe solaire, de sa lune et de son ascendant. "Chaque planète, chaque aspect, a révélé une nouvelle facette de ma personnalité", explique-t-elle. "C'était comme si j'avais trouvé un miroir magique qui reflétait mon âme." Mais l'astrologie n'a pas seulement eu un impact sur la compréhension de soi de Sarah, elle a également amélioré ses relations avec les autres. "En comprenant les profils astrologiques de mes amis et de ma famille, j'ai pu mieux comprendre leurs besoins, leurs motivations et leurs réactions", explique-t-elle. "Cela a renforcé nos liens et nous a permis de mieux nous soutenir mutuellement." "J’invite ceux qui sont curieux de l'astrologie à explorer cette discipline avec un esprit ouvert. L'astrologie n'est pas une solution miracle, mais elle peut vous aider à mieux vous connaître et à naviguer dans les défis de la vie", dit-elle. "C'est un outil puissant pour la croissance personnelle et la compréhension des autres." Le témoignage de Sarah est un rappel que l'astrologie peut être bien plus qu'une simple curiosité, mais plutôt un chemin vers la découverte de soi et de la connexion avec les autres. Si vous êtes curieux à propos de l'astrologie, pourquoi ne pas plonger dans votre propre thème astral ? Qui sait quelles révélations et quelles aventures cosmiques vous attendent ? Contactez-nous dés à présent au 01 44 88 54 54.
Il y a quelque chose de magique dans le pouvoir de l'intuition. Ce sentiment profondément enraciné en nous, cette petite voix intérieure qui nous guide quand tout semble confus. En tant que femmes, notre intuition peut être notre plus grande alliée. L'histoire de Sarah, une mère de trois enfants, illustre parfaitement la puissance de cette intuition maternelle. J’ai toujours été une mère attentionnée et dévouée. Je connaissais chaque petit détail de la vie de mes enfants. Je suis très attentive à la moindre variation dans leur comportement. Alors, quand mon fils Arthur a commencé à présenter des symptômes inexpliqués, j’ai immédiatement senti que quelque chose n'allait pas. Au début, les médecins semblaient perplexes. Ils pensaient que les symptômes d’Arthur n'étaient que le résultat d'une allergie saisonnière mais j’avais l’intime conviction que c'était plus que ça. J’avais l'impression que quelque chose se cachait sous la surface, quelque chose qui méritait une attention particulière. J’ai insisté pour consulter un spécialiste et ce, malgré les doutes exprimés par certains professionnels de la santé. Je savais qu’il fallait une évaluation plus approfondie. Et c'est là que l'intuition maternelle est entrée en jeu ! Le spécialiste a mené des tests approfondis, et le diagnostic a été un choc pour toute la famille. Arthur avait en réalité une maladie sérieuse qui nécessitait un traitement urgent. Sans l'intervention rapide, les conséquences auraient pu être beaucoup plus graves. Grâce à l'écoute de mon instinct maternel, je peux dire aujourd’hui que j’ai sauvé la vie de mon fils. Le traitement précoce lui a permis de récupérer complètement. Arthur est aujourd’hui en bonne santé et plein de vie. Je ne cesse de dire que c'est grâce à mon intuition maternelle que j’ai suivi le bon chemin, même lorsque tout le monde en doutait. J’espère que mon histoire va aider d’autres parents et montrer l'importance de l'intuition et de la confiance en soi en tant que parent. Nous, les mères, nous avons ce sentiment profondément enraciné qui nous guide dans la protection de nos enfants. Nous savons quand quelque chose ne va pas, même quand tout semble normal en apparence. Le témoignage de Sarah nous rappelle que parfois, la réponse aux questions de la vie se trouve à l'intérieur de nous, dans ce doux murmure qui nous pousse à agir, à protéger et à aimer. Sarah en est la preuve vivante. Son histoire nous inspire à faire confiance à notre propre intuition, qu'elle concerne nos enfants ou d'autres aspects de notre vie. Si vous souhaitez utiliser la voyance comme un moyen d'exploration de votre intuition, développer une meilleure compréhension de vous-même et des situations qui vous entourent, consultez dés à présent les voyants d’Étoile de Vénus au 01 44 88 54 54. Nos experts peuvent vous aider à prendre des décisions plus éclairées et à naviguer dans la vie avec confiance.
Notre enfant intérieur, celui qui a grandi en nous, portant en lui des souvenirs, des émotions et des rêves, est réapparu dans la vie de Christian d'une manière tout à fait inattendue. Cette rencontre lui a permis de renouer avec une part essentielle de lui-même et d'explorer les profondeurs de son être. Laissez-nous vous emmener dans cette aventure tout à fait particulière ! « Avec le temps, je me suis senti attiré par une profonde envie de me reconnecter avec mon passé, avec cette version de moi-même qui avait été oubliée au fil des années. J'étais enfin prêt à comprendre et guérir certaines parties de moi qui avaient été négligées ou blessées. J'ai donc fait le choix de m'engager dans un voyage intérieur, une exploration de mon enfance, de mes souvenirs et de mes émotions. En plongeant dans les profondeurs de ma conscience, j'ai ressenti une présence douce et familière. J’ai analysé cela comme mon enfant intérieur qui se manifestait, vibrant d'une énergie innocente et joyeuse. J'ai été surpris par la clarté avec laquelle je pouvais me souvenir de cette période de ma vie. Les souvenirs ont afflué, déverrouillant ainsi des émotions enfouies depuis trop longtemps. Nous avons commencé à interagir, mon enfant intérieur et moi. J'ai pris le temps de l'écouter attentivement, de le consoler, de lui offrir l'amour et l'attention qu'il avait tant désirés. C'était un moment de guérison profonde et d'acceptation inconditionnelle. Je me suis rendu compte que cet enfant intérieur portait en lui des peurs, des blessures et des croyances limitantes qui m'avaient suivi tout au long de ma vie adulte. En renouant avec mon enfant intérieur, j'ai pu commencer le processus de guérison et de libération. J'ai réalisé que j'avais le pouvoir de réécrire mon histoire et de changer les schémas de pensée qui me retenaient. J'ai ressenti une libération émotionnelle profonde en confrontant les souvenirs douloureux et en offrant à mon enfant intérieur l'amour et la compassion qu'il méritait. Peu à peu, j'ai intégré cette partie de moi-même dans ma vie quotidienne. J'ai commencé à écouter mes besoins, à exprimer mes émotions et à vivre avec une authenticité renouvelée. Mon enfant intérieur est devenu un guide précieux, me rappelant l'importance de la joie, de la curiosité et de l'émerveillement dans ma vie d'adulte ». La rencontre avec son enfant intérieur a été une expérience puissante et transformatrice. Elle a permis à Christian de guérir des blessures du passé et d’aller de l’avant. Nos médiums et voyants peuvent vous accompagner avec bienveillance sur ce chemin. Contactez-les dés à présent au 01 44 88 54 54.
Il y a des moments dans la vie où nous sommes confrontés à des difficultés qui nous paraissent insurmontables, où l'espoir semble s'évaporer et où nous nous sentons seuls face à nos peines. Mais que se passe-t-il lorsque nous sommes touchés par une intervention divine, lorsque notre ange gardien entre en scène pour nous guider et nous protéger ? C’est cette expérience personnelle que Florence a choisi de partager avec nous, celle de la rencontre avec son ange gardien, un moment unique qui a bouleversé sa vie à jamais. C'était une nuit sombre et orageuse, où la douleur et le désespoir m’envahissaient. J'étais au plus bas, je me sentais perdue dans un océan d'incertitude. C'est alors que j'ai ressenti une présence apaisante, une chaleur enveloppante qui a pénétré mon être tout entier. J’ai compris au plus profond de moi-même que je n'étais pas seule. Alors que je tentais de comprendre ce qui se passait, une voix douce et réconfortante a résonné dans mon esprit. C'était comme une mélodie céleste qui caressait mon âme. Mon ange gardien était là, me parlant avec amour et bienveillance. Ses mots étaient empreints de sagesse et de réconfort, m'apportant une lueur d'espoir dans les ténèbres de ma détresse. Depuis cette rencontre magique, ma vie a été transformée. Mon ange gardien m'a guidé sur le chemin de l'amour-propre, m'aidant à guérir mes blessures intérieures et à trouver la force de poursuivre mes rêves. À travers les épreuves et les difficultés, j'ai senti sa présence à mes côtés, me donnant le courage de persévérer. Mon ange gardien est devenu mon guide inconditionnel. Dans les moments de doute, je ressens sa main invisible me poussant vers l'avant, me rappelant que je suis aimée et soutenue. Grâce à cette relation profonde, j'ai appris à écouter mon intuition, à faire confiance à mon cheminement et à trouver la paix intérieure. La rencontre avec mon ange gardien a été un véritable miracle céleste dans ma vie. Cette expérience a renforcé ma foi en une force supérieure bienveillante qui veille sur nous. J'ai appris que nous ne sommes jamais seuls, que même dans les moments les plus difficiles, nos anges gardiens sont là pour nous guider et nous protéger. Ouvrez votre cœur à la possibilité d'une rencontre avec votre ange gardien, repérez les signes et écoutez les voix intérieures. Nos voyants et médiums peuvent vous accompagner sur ce chemin. Contactez-les au 01 44 88 54 54. Vous pourriez être surpris par la beauté et la magie qui vous attendent lorsque vous vous connectez à votre ange gardien !
Noémie, 57 ans, a trouvé le partenaire idéal en Christophe. Pourtant leur chemin vers l'équilibre amoureux ne s'est pas toujours fait sans embûches... « Quand j'ai rencontré Christophe, j'ai tout de suite su que c'était l'amour avec un grand A, qu'il allait compter plus que tous les autres. J’ai eu beaucoup d’hommes dans ma vie, des relations successives sans lendemain mais j’ai tout de suite su, qu’avec lui, ce serait différent. On a eu l’occasion de se dire adieu, on aurait pu, on a failli. Il y a eu des coups de canifs dans le contrat comme on dit mais nous avons fait le choix de rester ensemble. Il y a quelques mois pourtant, j’ai senti que Christophe s’éloignait à nouveau de moi. Il rentrait de plus en plus tard, son esprit était souvent ailleurs et je n’ai pas été dupe lorsque j’ai senti un parfum de femme sur sa veste lorsqu’il est rentré de séminaire. J’aime Christophe et ce que nous avons construit à deux, alors j’ai à nouveau décidé de me battre pour le garder. Je me suis demandée s’il ne pouvait pas exister un moyen infaillible pour déclencher à nouveau la passion, un peu comme l’élixir qui avait unit Tristan et Iseult. Peut-être que finalement l’amour peut aussi relever d’un processus chimique, non ? Je me suis procurée un élixir d’Amour, un produit prétendant raviver la passion dans une relation existante. Cet élixir devait me permettre d’accroitre et de renforcer l’énergie de l’amour selon la loi de la réciprocité. : en élevant mon taux vibratoire d’amour en moi, j’allais attirer l’amour en retour. J’ai suivi scrupuleusement les recommandations et comme par magie, Christophe a commencé à changer d’attitude : il rentrait beaucoup plus tôt, il me complimentait à nouveau, il me trouvait désirable. J’ai réussi à rallumer la flamme et depuis notre couple va bien, très bien même. Je sais que rien n’est jamais acquis. Alors je fais attention au quotidien pour que plus jamais cette petite flamme ne s’éteigne. » Si vous souhaitez être éclairé(e) sur votre avenir amoureux, les voyants et médiums d’Etoile de Vénus peuvent vous y aider. Ils sont joignables au 01 44 88 54 54.
A la suite d’une rupture amoureuse douloureuse, Inés a passé plus de 2 ans à déprimer, ressasser son passé, son mal être et sa rancœur envers son ex. Après avoir consulté une voyante sans trop y croire, Inés a pourtant été conquise. Elle nous raconte cette rencontre qui a changé sa vie : Les gens consultent souvent des voyants pour obtenir des réponses à des questions sur leur vie personnelle, comme leurs relations amoureuses, leur carrière, leurs finances... Alors je me suis dit : « pourquoi pas moi ! ». Je savais déjà que certains voyants utilisent diverses techniques comme la lecture des tarots, la voyance par les pendules, ou encore la clairvoyance, pour obtenir des informations sur l'avenir ou obtenir des réponses à des questions spécifiques. Pour ma part, je n’avais qu’une question, je voulais savoir quand j’allais enfin rencontrer le père de mes futurs enfants. Cette consultation de voyance m’a offert une perspective différente sur ma vie amoureuse. Elle m’a permise de mieux comprendre mes propres motivations et désirs ainsi que ceux de mon futur partenaire. Elle m’a aidé à analyser ce qui avait été le facteur déclencheur de ma rupture. La voyante m’a également prodiguée des conseils sur la manière de gérer des situations difficiles ou de surmonter des obstacles dans ma future relation. Consulter une voyante m’a offert un sentiment de soulagement et de clarification en me permettant d'explorer différentes options et de faire ainsi des choix éclairés. Pour autant je n’ai pas abandonné mes efforts personnels pour trouver l'amour. J’ai recommencé à sortir, à avoir une vie sociale épanouie, J’ai rencontré de nouvelles personnes et Grégoire est entré dans ma vie… Si comme Inés vous souhaitez rencontrer l'amour avec un grand "A", les voyants et médiums d’Etoile de Vénus peuvent vous éclairer en toute bienveillance sur l’avenir qui vous attend. Ils sont joignables au 01 44 88 54 54.
Le Père Noël fait partie de ces croyances qui ponctuent l’enfance depuis des décennies. En grandissant, nous avons tous été confrontés au principe de réalité et le fait que le Père Noël n’existe que dans nos rêves d’enfant. Myrtille nous raconte sa plus grande désillusion. Comme beaucoup d’enfants, j’attendais Noël avec impatience. A l’approche de cette période, je m’étais tout en œuvre pour avoir un comportement irréprochable pour que le Père Noël que j’admirais tant mais craignais aussi à la fois, n’ait aucune excuse pour me priver de mes cadeaux tant attendus. Je me souviens que je m’appliquais à lui écrire ma lettre. Je découpais les jouets et déguisements choisis dans les catalogues pour éviter qu’il ne se trompe. Je m’y prenais bien à l’avance, de peur que ma lettre n’arrive pas à temps au pôle Nord avant de la remettre en toute confiance à ma mère. Elle a gardé toutes mes lettres toutes ces années. L’autre jour, elle est tombée dessus en rangeant des papiers. Elle m’en a lu. C’était trop mignon. En rentrant au CP, la rumeur disait que le père Noël n’existait pas ! Je refusais d’y croire. C’est vrai que j’avais remarqué qu’il y avait beaucoup trop de Pères Noël dans les magasins mais il y avait une explication à tout cela : le Père Noël étant trop occupé au pôle Nord, il avait envoyé des représentants. A l’école, un grand m’a confié un secret : « le Père Noël n’existe pas, ce sont les parents qui font les cadeaux ». Le doute a alors commencé à s’installer, j’ai cherché où pouvaient être cachés les présents dans toute la maison. J’ai fini par les trouver sous le lit de mes parents. Quelle déception ! Quelle trahison ! Mes parents m’avaient menti… mais alors, pour la petite souris, pour les cloches de pâques, c’était aussi un mensonge ? C’est bien plus tard que j’ai compris que les mythes sont de si jolies histoires que c’est pour cela que nos parents nous les font croire. J’aime à penser que le Père Noël existe pour ceux qui y croient. Si vous avez des interrogations, vous pouvez aussi contacter les voyants d'Etoile de Venus. Ils sont là pour répondre à toutes vos questions !
Au chômage et en recherche d’emploi depuis peu, Lydie n’aurait jamais imaginé le déroulement de son premier entretien avec son conseiller Pôle Emploi. Elle nous raconte son expérience pour le moins surprenante. Licenciée depuis le mois d’octobre, Pôle emploi m’envoie un mail pour me confirmer le premier rendez-vous avec mon conseiller. Ce rendez-vous se fait au téléphone, Covid oblige. Il a mon dossier à l’écran, connait le dernier groupe dans lequel j’ai travaillé. Nous parlons d’abord de ce rachat qui a entrainé mon licenciement et je sens déjà qu’une connexion se fait. Je le trouve très humain et empathique, bien loin de l’idée que je me faisais de ces conseillers distants et froids. En confiance, je lui parle alors de mon projet professionnel. Assistante commerciale depuis toujours, j’ai décidé que ma passion deviendrait mon métier. Je vais être professeur de Yoga. Le contexte sanitaire actuel m’a poussé à prendre soin de mon corps et de mon âme. Je souhaite mettre tout en œuvre pour faire bénéficier ceux qui le souhaitent de ces bienfaits. Il m’écoute avec attention. Loin de trouver cela surprenant, il trouve que mon projet a du sens. Il me dit qu’étant très cartésien (a fait de la physique quantique et des mathématiques), il est très ouvert au monde du développement personnel, du bien-être, du mieux-être et même de la voyance. Il m’explique qu’il a hérité de sa grand-mère d’un don de voyance et qu’il tire les cartes. Comme je consulte le cabinet Etoile de Vénus, nous commençons à parler voyance et médiumnité avec et sans support. Nous parlons ensuite d’âme sœur, de flamme jumelle, de lithothérapie. La conversation touche à sa fin, il doit raccrocher, il a un autre rendez-vous après. Je lui dis à quel point j’ai apprécié notre entretien et il me dit partager ce ressenti. J’avoue avoir eu envie de lui proposer de continuer cette conversation autour d’un café mais je n’ai pas osé… peut-être la prochaine fois ? Si comme Lydie vous souhaitait échanger avec les voyants et médiums d’Etoile de Vénus, contactez-nous au 01 44 88 54 54.
Je me sens harcelée, nous raconte Delphine. Mon fils qui refuse de se rendre au lycée, mon ex toujours omniprésent et la société dans laquelle j’ai du mal à me retrouver. Mon fils me répète inlassablement que le lycée ne sert à rien, qu’il n’apprend rien et que l’ennui est insurmontable. Mon ex me répète encore au bout de plusieurs années de séparation qu’il m’aime, que je lui manque et que tout cela est un énorme gâchis. Je me détache de mes amis que je trouve intolérants par rapport à ma position sur la crise sanitaire, je coupe la télé où se succèdent les médecins de plateaux qui alimentent la peur et j’apprends à devenir casanière puisque je n’ai plus accès aux loisirs et que je suis qualifiée de non citoyenne par notre président. Je suis en colère. Je suis privée de ma liberté alors que je ne suis pas hors la loi. Mes pensées se bousculent et s’entrechoquent. J’ai l’impression que ma tête va exploser. Je n’arrive pas à lâcher prise. Je dois faire quelque chose. Cela devient vital. J’ai pris rendez-vous pour une petite demi-heure de bien être avec un massage crânien. Je sens des huiles essentielles, je m’allonge sur une table chauffante et je me laisse bercer par une musique douce. Ce qui m’arrive est incroyable ! je suis dans un tableau de Picasso, je suis ensuite dans une pièce bleue et j’arrive à changer à volonté la couleur des angles avec mon esprit, je me retrouve après au milieu d’un groupe où on se caresse, se touche la peau, c’est assez érotique. Je reprends conscience. Je me rends compte qu’en l’espace de quelques minutes seulement je me suis endormie et que j’ai même rêvé. Je me concentre sur ce massage et le bien être qu’il me procure. Mon esprit s’évade à nouveau. Je comprends le sens du mot « lâcher-prise ». A la fin du soin, ma tête est libérée de ses tensions. Prendre soin de soi, c’est bien. Prendre soin de son corps et de son esprit, c’est mieux. J’en mesure pleinement le sens aujourd’hui à l’aube de mes 50 ans. Si comme Delphine vous ressentez un profond mal être, un besoin de tout maîtriser pour vous sentir rassuré(e), les voyants et médiums d’Etoile de Vénus peuvent vous aider à lâcher prise en vous guidant en toute bienveillance sur l’avenir qui vous attend. Ils sont joignables au 01 44 88 54 54.
Nous ignorons la plupart du temps que nous rêvons lorsque nous rêvons. Ce n'est qu'au réveil, lorsque nous entrevoyons quelques images partielles de ce qui venait juste de nous traverser l'esprit, que nous reconnaissons qu'il s'agit d'un vécu. Ce qui nous paraissait si réel durant la nuit ne semble alors être qu'un mirage ou un rêve. Savez-vous que tout être humain a la capacité de faire des rêves lucides ? Selon les études, le pourcentage de personnes déclarant avoir connu au moins un rêve lucide varie entre 26 % et 82 %. Un faible pourcentage en fait régulièrement. Un rêve lucide est un rêve au cours duquel le rêveur a conscience de rêver. La teneur du rêve lucide peut alors être influencée au gré de ses envies. Mathieu nous raconte sa toute première expérience de rêves lucides : Petit, je faisais beaucoup de cauchemars. C’était souvent le même : j’étais poursuivi par mon monstre dans un labyrinthe. Je tentais de lui échapper, je courrais à en perdre haleine sans jamais trouver la sortie et je me réveillais en sueur, terrorisé avant que le monstre me dévore. Lorsque j’arrivais à me rendormir, il était fréquent que mon cauchemar continue. Cela a perduré des années. J’en arrivais à avoir peur d’aller me coucher jusqu’au jour où, avant d’aller au lit, je me suis répété à voix haute et en boucle que ce soir, j’allais m’endormir, je ferai peut-être à nouveau ce cauchemar mais cette fois, je serai lucide et je pourrais agir pour le modifier. Je serai maitre de mon rêve. Et je me suis endormi. Je me suis, une nouvelle fois, retrouvé dans ce labyrinthe. Je savais que le monstre aller arriver, me poursuivre pour me tuer et me manger. J’avais très peur, j’accélérai le pas en cherchant une sortie possible. J’ai entendu son grognement, j’ai vu son ombre, j’ai senti son odeur. C’était trop tard, attiré par la chair fraîche il était à mes trousses. Il n’était plus qu’à quelques mètres lorsque j’ai pu prendre conscience que mon cauchemar n’était qu’un rêve. De ce fait, mon cauchemar est devenu aussi inoffensif qu'un film d'horreur et m’a permis d’orienter la suite de mon rêve dans une direction positive. J’ai vécu alors une expérience incroyable ! j’ai pu transformer ce rêve à volonté. J’ai fait apparaitre des pièges dans lequel le monstre est tombé, j’ai transgressé les lois de la physique en transperçant la matière pour tenter de sortir du labyrinthe, j’ai fait apparaitre et disparaitre des portes. J’ai joué avec les couleurs. J’avais des facultés magiques, voire impossibles dans le monde matériel. Lorsque j’en ai eu marre de jouer à cache-cache avec le monstre, je me suis fait pousser des ailes et je me suis tout simplement envolé. Grâce au rêve lucide, j’ai pu affronter mes peurs cauchemardesques et parvenir à les surmonter. Je me suis réveillé avec une confiance accrue en moi-même. Cette nuit là a été le début de mes autres rêves lucides.
Tous les amoureux des animaux seront d’accord pour dire qu’ils sont capables de communiquer avec leur cheval, leur chien ou encore leur chat… Ils affirment arriver à comprendre ce que disent leurs animaux et arrivent réciproquement à se faire comprendre d’eux. La communication animale est issue de la communication télépathique, qui permet de savoir ce que l’animal pense et ressent. C’est un échange conscient et volontaire de pensées, d’idées ou d’émotions. Il y a un émetteur et un récepteur qui reçoit et traduit sous forme d’images, de sons, de sensations ou de pensées. Cette technique est comparable au fonctionnement d’une radio : on change d’ondes et on augmente notre taux vibratoire pour s’adapter au langage des animaux qui est universel, car tous les êtres vivants sont connectés entre eux. Amélie fait partie de ces personnes qui dialogue avec les animaux. Elle nous raconte son histoire. La communication des animaux est en général plus riche que celle des humains qui sont confrontés aux limites des mots. Lorsque je réussis à établir le contact en me mettant sur la même longueur d’ondes vibratoires que les animaux et à échanger avec eux, ils sont toujours contents et soulagés d’être écoutés et compris. Les premiers temps, cela paraît un peu loufoque. On ne sait pas si c’est notre mental qui fabrique ces informations ou si elles sont bien réelles. Ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est qu’on peut entrer en contact avec n’importe quel animal car chacun a une âme et ressent des émotions. Je dialogue surtout avec des chats, des chiens, des lapins, des chevaux et des perroquets. Le but de cette communication est d’écouter l’animal, le comprendre pour pouvoir l’aider en solutionnant un problème. Je joue un peu le rôle de thérapeute quoi ! (rires). Je me souviens de la fois où mon chat Salem n’était pas rentré depuis quelques jours. J’avais essayé d’entrer en contact avec lui pour savoir où il était. En vain. J’étais trop impliquée. C’est au moment d’aller me coucher que, concentrée à mon maximum, j’ai eu un flash : je l’ai vu coincé dans le garage du voisin. Je suis allée sonner immédiatement chez lui et Salem s’y trouvait bien ! Je n’ai pas de recette miracle. C’est l’animal qui me donne la clé. Encore faut-il être prêt à l’entendre sans trop vouloir interpréter. J’ai remarqué que notre petit compagnon nous accompagne à un moment bien précis de notre vie. Il est comme un guide terrestre qu’on ne choisit pas par hasard ! C’est d’ailleurs souvent eux qui nous choisissent ! On s’apporte mutuellement quelque chose. Les animaux ont tellement à nous transmettre ! Grâce à eux, j’ai appris à lâcher prise et à vivre pleinement l’instant présent. Contrairement à nous, ils ne vivent ni dans le passé ni dans le futur. Elles sont dans l’instant présent, dans l’ici et maintenant. J’en ferai peut-être un jour mon métier, qui sait ? dans le passé ni dans le futur. Elles sont complètement en phase avec le monde à chaque instant. Si comme Amélie, vous souhaitez communiquer avec votre animal, n'hésitez pas à faire appel à un coach pour vous permettre de comprendre les comportements et les attitudes de votre animal, ses attentes, en mettant des mots sur ses ressentis physiques, son mental et son moral. Vous trouverez ainsi ensemble une solution pour, si besoin, soulager ses peines ou ses douleurs. Le coaching vous apprendra également à communiquer à votre tour avec lui : https://www.labellebobo.fr/product/communiquer-avec-son-animal/
Il s’appelait Mathis et il m’a quitté. Il s’appelait Mathis est il est à la fois ma plus belle rencontre et ma plus profonde déchirure. J’ai été amputée d’une partie de moi-même. Je vis l’épreuve la plus douloureuse de toute ma vie et pourtant, je suis encore debout. Il me manque. Son absence est abyssale. J’oscille encore parfois entre colère et abattement mais j’avance. Je recommence peu à peu à m’autoriser à vivre alors que mon fils, lui, ne le peut pas. Avec le temps, j’arrive à ne plus culpabiliser, à arrêter de me dire : « et si j’avais vu… si j’avais su… j’aurais pu ». On me dit que je suis sur le chemin de la résilience. Je travaille sur l’acceptation de l’inacceptable. En même temps, comment ne pas finir par accepter ce qui ne peut être changé ? Mathis n’est plus là et ne reviendra pas. C’est factuel et je n’y peux rien… Il laisse une cicatrice indélébile mais il continue à vivre à l’intérieur de moi. Je n’aurais jamais cru être capable de cela. L’être humain a des ressources extraordinaires. Si j’ai voulu témoigner à l’approche du 1er novembre, c’est pour tous ceux qui ont perdu un enfant, un parent, un conjoint, un proche ou un ami. Je souhaite leur dire qu’ils sont aussi capables de surmonter la blessure la plus douloureuse de toute leur vie. Personnellement, je n’ai pas hésité à me faire aider et guider sur ce chemin du deuil à la libération, si je peux le qualifier ainsi… Aujourd’hui, malgré ce manque, je suis plus sereine, je sais que Mathis est partout avec moi.
La violence perverse dans le couple est souvent niée ou banalisée, réduite à une simple relation de domination. C’est nier L’emprise qui paralyse la victime et l’empêche de réagir, les violences subies et la gravité des effets psychologiques du harcèlement récurrent sur la victime. Caroline a mis des années à mettre les mots sur la relation toxique qu’elle entretenait avec Julien. C’est grâce à une prise en charge par un professionnel en psychothérapie qu’elle a pu en prendre conscience, s’en sortir et aller de l’avant : J’ai rencontré Julien par le biais d’un couple d’amis. Je suis tout de suite tombée sous le charme de cet homme mûr et charismatique. A ses côtés, je me sentais protégée et belle. Il me complimentait, me gâtait, prenait soin de moi. C’était un amant tendre et bienveillant. J’étais « sa petite merveille » comme il aimait le dire. Je me suis laissée séduire et je suis tombée folle amoureuse de cet homme parfait. Mais cette « lune de miel » s’est vite transformée en cauchemar. Julien voulait me façonner à l’image qu’il s’était fait de la femme parfaite. Il m’a fait changer ma manière de m’habiller et de me maquiller. Moi qui ne portait que des chaussures plates, il a remplacé toutes mes paires par des chaussures à talons hauts. J’avoue l’avoir fait pour lui faire plaisir parce que mes sentiments avaient pris le dessus et je voulais qu’il m’aime en retour. Mais petit à petit, les reproches sont arrivés. Julien n’élevait jamais le ton, il manifestait une hostilité froide, qu’il niait si je lui en faisais la remarque. Devant cette impossibilité de dialoguer, je m’énervais. A ses yeux, j’étais une hystérique et il en était la première victime. Je me suis épuisée dans ces conversations stériles d’où j’en sortais confuse psychiquement et avec toujours les mêmes questionnements. Entre amis, Julien était jovial et à l’écoute des autres. Devant eux, il me faisait des remarques assassines jusqu’à l’humiliation en prenant à témoin nos amis. Pourtant je l’aimais et me disais qu’il changerait, que son travail le stressait. Je lui trouvais toujours une excuse. Et puis un jour, il y a eu le geste de trop, la gifle. Lors d’une énième dispute, Julien m’a giflé. Il avait ce regard noir et froid qui m’a glacé. De la violence psychologique nous avions basculé dans la violence physique. J’ai eu peur et avec le recul, je me dis que c’est mon instinct de survie qui m’a sauvé. J’ai fini par quitté Julien quelques mois après. Je me suis longtemps sentie coupable de l’avoir « abandonné » comme il aimait le dire à nos amis. J’ai accepté de me faire aider et grâce à une prise en charge par une psychologue, j’ai compris que la seule issue était la fuite. Aujourd’hui je tente de me reconstruire et de comprendre pour ne plus retomber dans une relation toxique. Petit à petit je retrouve mon énergie, ma vitalité et je vais de l’avant. Notre Coach, spécialisé dans les comportements manipulateurs et toxiques vous invite à comprendre les mécanismes du pervers narcissique afin d’apprendre à mieux le repérer, s’en protéger et se libérer de son emprise. Ne subissez plus ! Composez le numéro gratuit 0144883988 pour être guidé(e) vers ce professionnel pour un coaching personnalisé d’une heure.
L’hypersensibilité est une particularité qui est loin d'être rare puisqu'on trouve 15 à 25% de personnes hypersensibles dans la population générale. Elle concerne aussi bien les hommes que les femmes et est plus fréquente chez les personnes à haut potentiel intellectuel. La personne hypersensible a une sensibilité supérieure à la moyenne. Cette hypersensibilité peut être psychologique et émotionnelle (personne qui se sent "à fleur de peau", "écorché vif", "qui prend tout à cœur", "écorchée vive" et "en plein cœur"), biologique et sensorielle (aux bruits, aux odeurs, aux stimuli visuels, tactiles). Je suis née hypersensible mais ne le savais pas. J’avais juste l’impression de ne pas être née à la bonne époque, nous confie Charlotte. En grandissant dans ce monde, nous sommes souvent blessés, et nous avons du mal à gérer les épreuves de la vie. Elle continue en citant Gustave Flaubert : « Je suis doué d’une sensibilité absurde, ce qui érafle les autres me déchire ». Pour arriver à avancer, je m’étais forgée une carapace pour ne plus rien ressentir et ne plus souffrir. Pourtant, consciente que cette carapace était en train de se fendre, je me suis rapprochée d’un coach pour me sentir mieux. C’est là que le diagnostic a été posé et que j’ai enfin compris pourquoi j'avais tant de mal à supporter le bruit, la lumière, le monde ; pourquoi je m'imagine toujours le pire, pourquoi j'ai autant besoin de me sentir aimée, pourquoi je m'inquiète tout le temps pour tout le monde, pourquoi j'aime avec passion, pourquoi je suis capable de passer du rire aux larmes, pourquoi il m’arrive de porter toute la misère du monde, pourquoi je suis une éponge à émotions… Je me suis faite accompagner pour vivre le plus confortablement possible ma particularité. J’ai appris à m'écouter, à respecter mon mode de fonctionnement : prendre du recul, faire des pauses… Alors que mon hypersensibilité était une faiblesse, j’ai réussi à en faire une force. J’ai réussi à apprivoiser mon hypersensibilité grâce au travail de coaching : j’écoute vraiment les gens, j’arrive à être à l'aise avec n'importe qui, je vis intensément dans l’instant présent, je m'intéresse à de nombreux de sujets. Nous, hypersensibles, sommes plus ouverts et plus tolérants. L’hypersensibilité n’est pas une maladie. C’est un point fort lorsqu’on arrive à la gérer. Cette particularité fait partie de nous et il faut savoir l’accepter et l’accueillir, apprendre à vivre avec tout simplement. Notre Coach, spécialisé dans l’hypersensibilité vous invite à reconnaitre les signes de l’hypersensibilité, apprendre à l’accepter et en faire une force. Si comme Charlotte vous souhaitez assumez votre particularité pour en faire une force, composez le 0144883988 pour être mis en relation avec notre coach spécialisé dans l’hypersensibilité pour un coaching personnalisé d’une heure.
Si certains sont fascinés par la beauté et la diversité des pierres, d’autres les utilisent dans le cadre d’une recherche de bien-être ou de guérison. La lithothérapie est une technique qui utilise les propriétés des pierres et des cristaux dans l’objectif d’apporter un soin. Les pierres et cristaux agissent sur le plan physique et psychique en rééquilibrant les fonctions vitales de l’organisme. La lithothérapie fait partie des thérapies énergétiques holistiques réputées pour favoriser l'équilibre de l’organisme : la pierre envoie au corps un signal porteur d’informations vibratoires qui, en fonction des besoins, harmonise l’organisme, le purifie énergétiquement, ou le stimule. Alix qui utilise la lithothérapie nous fait part de son expérience et de la place que les pierres occupent désormais dans sa vie. J’ai toujours été attirée par les pierres et les cristaux. Je me souviens que petite, je passais des heures dans le jardin à la recherche de jolies pierres que je collectionnais. J’étais séduite par leur matière et leurs couleurs. Ce n’est que bien plus tard que je me suis mise à acheter des pierres brutes ou roulées. Je me suis souvent demandée pourquoi j’étais attirée par une pierre plutôt qu’une autre. En fait, c’est instinctif. Je vais vers une pierre parce que je la trouve belle. Au début, je ne me rendais pas compte qu elle était, en réalité, en résonance avec moi. Lorsque j’ai acheté ma première pierre, j’ai effectué des recherches sur ses vertus et j’ai compris que ses propriétés répondaient à ma problématique. Intuitivement, j’avais choisi ce dont j’avais besoin. J’avais été attirée par la pureté et la douceur de sa couleur rose. A son contact je ressens un bien-être incroyable comme si j’étais enveloppée d’amour et de bienveillance. Ce quartz rose, je le porte souvent sur moi, près de mon cœur. Aujourd’hui, j’utilise les pierres et cristaux de différentes manières : en direct sur ma peau en bijoux par exemple, en pierre roulée dans ma poche ou mon sac, en massage avec des huiles de cristaux ou sous forme d’élixirs. Depuis que je porte un bracelet d’ambre, j’ai remarqué que mon eczéma a sensiblement diminué. En revanche, si je porte une pierre et que je ne me sens pas bien avec, c’est que je ne dois pas en avoir besoin à ce moment-là. J’utilise aujourd’hui les gemmes selon mon humeur et mes besoins, en étant à l’écoute de mon corps et mon esprit. C’est comme si la pierre m’appelait. Si je sens qu’une pierre va m’aider, je vais la porter. Mais je ne me dis jamais que si j’oublie d’en porter, il va m’arriver malheur dans la journée. Ce n’est pas un grigri ! Pour qu’une pierre agisse, il faut en prendre soin et se connecter à elle. Aimer une pierre et la porter stimule son pouvoir thérapeutique. Je traite mes pierres comme des amies. Cela va peut-être vous sembler ridicule mais je leur parle, je prends soin d’elles, je les nettoie, les purifie et les recharge. En prendre soin augmente leur énergie. Si vous souhaitez en connaître plus sur les vertus des pierres et leurs utilisations, nous vous donnons rendez-vous sur le site de notre partenaire : www.labellebobo.fr La Belle Bobo propose des produits et coaching autour de la lithothérapie pour un bien-être et mieux-être au quotidien ! Il est à noter que la lithothérapie peut avoir une forte influence sur notre état d’être sans toutefois remplacer une consultation médicale.
Jeune femme pressée, Murielle est entrepreneuse. Après plusieurs années à lutter contre un stress quotidien et à la limite du burn-out, elle découvre la méditation lors d’une retraite à Bali. Depuis, sa vie se s’est métamorphosée. Elle se confie sur son expérience au Cabinet Etoile de Vénus. Il y a deux ans, j’étais en train de perdre ma société que j’avais montée. Des impayés et des mauvais investissements avaient mis à mal mon activité. Je suivais sur Instagram une personne qui faisait des retraites de méditation à Bali. Sur un coup de tête, j’ai pris un billet et je me suis envolée pour Bali. J’arrive sur ce lieu de retraite que je vais partager pendant dix jours avec une vingtaine de femmes de tous âges et de tous horizons. Assise en tailleur méditant en silence plusieurs heures par jour, je me rends compte que je suis non seulement une tête mais aussi un corps. Et ce corps que j’ignore parle un langage que ma tête ne comprend pas. Rester assise de longues heures est très inconfortable. Mon corps souffre, il n’est pas habitué. Je focalise alors mon attention sur ma respiration, sur les sons qui m’entourent. J’effectue un balayage corporel, en focalisant mon attention successivement sur les différentes parties mon corps. Malgré l’inconfort, les bienfaits sont pourtant bien réels. Je ne ressens plus la douleur et je me détends. Au début, mon esprit avait tendance à se disperser, maintenant j’arrive à me recentrer et reprendre de l’énergie. La méditation a changé ma façon de voir les choses. Je ressens moins de stress, j’accepte ce qui m’arrive et je lâche prise face à mes préoccupations quotidiennes. Je prends de la distance, je me laisse moins submerger et je prends de meilleures décisions. Cette retraite m’a sauvé et a sauvé ma société. Aujourd’hui, je continue à méditer pendant une heure une à deux fois par semaine. C’est devenu une hygiène de vie.
Avez-vous déjà entendu parler de ces jeunes enfants qui révèlent des détails saisissants de leurs expériences passées ? De la famille dans laquelle ils ont grandi et de leur fin de vie parfois tragique ? Laura a été troublée par le témoignage de son fils qui a des souvenirs précis d’une vie antérieure. Elle nous raconte : Je suis une personne très cartésienne et plutôt terre à terre. J’ai un fils unique qui est maintenant adolescent. Mon fils n’a jamais su faire du vélo. Je me souviens que petit, il n’arrivait même pas à faire du tricycle. J’ai tenté à différentes périodes de sa vie de lui apprendre à faire du vélo, sans succès et sans entrain de sa part non plus. Nous avions consulté une psychomotricienne qui n’avait révélé aucune anomalie. Alors qu’à l’âge de 6 ans, je tentais une nouvelle fois de lui apprendre, il s’est figé avant de me dire : « tu sais Maman, dans une vie antérieure, j’ai eu un accident de vélo et je suis mort. Tu crois que c’est pour ça que maintenant je n’arrive pas à en faire ? ». Pendant plusieurs années, il m’en a parlé et puis le souvenir s’est estompé peu à peu. Aujourd’hui, il n’en garde aucun souvenir. Il est vrai que cet épisode m’a interpellé. J’ai effectué des recherches sur internet et je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup de témoignages sur des vies antérieures. Lors d’une consultation de voyance, j’ai abordé le sujet de la famille (mon mari et mon fils), je n’ai pas parlé que tout cela mais le voyant m’a dit que mon fils était une vieille âme. J’y crois. C’est effectivement un adolescent qui est d’une grande maturité, l’altruiste et avec une capacité de réflexion assez incroyable. Nous semblons êtres des âmes sœurs, des âmes dans l’ici et maintenant pour s’aider mutuellement et grandir ensemble.
Comme beaucoup de femmes, Corinne est complexée par sa récente prise de poids de ces derniers mois : ménopause, télétravail, stress et sédentarité ont eu raison de sa balance ! Elle ne s’habille plus, se maquille peu, ne voit plus ses amis et sort occasionnellement de chez elle. Elle s’isole peu à peu et sombre dans la déprime. Pourtant une rencontre va bouleverser sa vie. On ne peut pas dire que je mange beaucoup mais rien qu’à regarder un gâteau, je prends un kilo ! Après avoir tenté bon nombre de régimes, fait le yoyo une grande partie de ma vie, sous l’impulsion de mon mari, J’ai fini par aller consulter une naturopathe. On discute longuement, je comprends d’où vient mon problème de poids et pour la première fois de ma vie, j’ai l’impression que cette femme naturopathe va vraiment pouvoir m’aider. Il y a quelque chose qui s’est passé dans les premières minutes de notre entretien. Je me suis sentie comprise et en totale confiance. Elle m’a proposé une séance de REIKI pour en quelque sorte, faire un scan de mon corps et se rendre compte de l’état de mon foie, sûrement fatigué par la prise récurrente de médicaments contre la migraine. Je n’avais jamais fait de REIKI ni aucun autre soin énergétique mais je suis très ouverte à tout cela. J’ai bien entendu accepté cette proposition. Ses mains étaient pourtant à distance de moi mais j’ai immédiatement ressenti une chaleur extrême, comme si ses mains étaient en feu. Elle m’a expliqué que mon niveau d’énergie était très bas et que je venais prendre son énergie sans qu’elle me la donne. Lorsqu’elle a posé ses mains au-dessus du Chakra plexus solaire, j’ai ressenti une vague d’émotions intenses et j’ai beaucoup pleuré. Elle m’a encouragé à libérer mes émotions, ne pas me retenir, me laisser aller. Elle m’a demandé si j’avais été opérée au niveau du nombril car elle percevait une fuite d’énergie à ce niveau. Effectivement, j’ai eu une célioscopie il y a quelques années ! alors symboliquement, avec de grands gestes lents et élégants, elle m’a recousu au niveau du nombril avec une pointe de cristal de Roche. Elle m’a dit que je n’étais pas seule. Dés qu’elle a posé les mains au-dessus de moi, elle a une image qui lui est apparue immédiatement. Elle a vu un viel homme de dos, tenant à la main une petite fille. Cet homme portait une casquette comme les paysans. J’ai reconnu mon grand-père paternel, décédé il y a quelques années. Je lui ai demandé de me décrire cette petite fille. C’était le stéréotype de la petite fille : cheveux longs blonds et bouclés avec un nœud, une petite robe. Je ne voyais pas qui pouvait être cette petite fille. Mon enfant intérieur ? et puis, cela a été comme une évidence. C’était mon bébé, ma petite fille que j’ai perdue il y 15 ans et qui n’est pas arrivée à terme. Je n’arrivais pas à arrêter de pleurer. Elle m’a demandé si je voulais qu’elle lui pose la question. La petite fille n’a pas répondu. Elle s’est juste retournée et a souri. Un grand sourire, le plus beau des sourire. C’était elle, j’en suis sure. C’est évident. Je l’ai tant pleuré il y 15 ans et je pense toujours à elle. Je sais maintenant qu’elle m’accompagne chaque jour. La douleur va pouvoir enfin se transformer en quelque chose de doux et de beau.
Le soir de la Saint Sylvestre est un moment de gaieté et de réjouissances imposé où l’on attend minuit avec un mélange d’excitation et de fébrilité pour s’embrasser et se souhaiter une bonne nouvelle année. Une tradition, ou plutôt un carcan pour Ines, 32 ans. « Cela doit faire presque 8 ans que je refuse toute invitation ce soir-là. Avant, je faisais comme mes amies, je courais après les invitations pour ne pas me sentir exclue, comme si le fait d’avoir l’honneur d’être invitée quelque part était le Graal. Ridicule ! En plus, je me suis rarement amusée au nouvel an. J’avoue que, finalement, je trouve cette soirée imposée plutôt pathétique. Rien n’y est naturel, on se force à tout : sourire, saluer, danser, faire la fête. Moi j’aime la spontanéité. Je me souviendrai toujours d’une année où aucune de ma bande d’amies ne pouvait se retrouver pour le 31. Je ne me rappelle plus la raison, mais là, n’est pas le sujet. Nous avons donc décidé de fêter la Saint Sylvestre le 30 décembre. Déjà, l’idée était séduisante puisqu’elle sortait des sentiers battus. Nous sommes allées faire la fête dans un restaurant tapas de Perpignan. Une soirée folle où j’ai ri de bon cœur et dansé sur les tables jusqu’à la fermeture. Ce fameux 30 décembre reste mon plus beau réveillon. Pas besoin de grand-chose finalement : une date en décalée, mon cercle rapproché et un endroit atypique. Depuis, je ne m’impose plus cette sorte d'obligation sociale et cette injonction à la bonne humeur le soir du 31. Je n’ai plus peur du vide, je préfère me retrouver avec moi-même avec un bon petit plat et un bon film plutôt que de me sentir potiche dans une soirée qui ne me ressemble pas ». Certains assument et revendiquent comme Ines de ne pas fêter le réveillon de fin d’année et d’être seule ; d’autres souffrent profondément de cette solitude. Les voyants et Médiums d’Etoile de Vénus restent à votre écoute au 01 44 88 54 54 même le soir de la Saint Sylvestre.
Même si elles éprouvent du désir voire du plaisir, il arrive que certaines femmes aient une impossibilité à atteindre l’orgasme, le point culminant du plaisir sexuel. Ce blocage peut être source de culpabilité et de mauvaise image de soi. Son origine se trouve souvent dans des considérations morales et éducatives, une mauvaise image de soi, de son corps, des complexes, une grande pudeur, un manque de confiance en soi ou encore un abus sexuel qui n’est malheureusement pas sans conséquences sur le plaisir sexuel. Mélanie en a été victime et nous raconte son histoire : J'ai eu un parcours sexuel chaotique, j’ai été abusée sexuellement par un membre de ma famille pendant plusieurs années durant mon enfance. Lorsque cela a cessé, j’ai eu une vie sexuelle pour le moins débridée. Je sortais beaucoup, je buvais aussi plus que de raison et j'accumulais les aventures sans lendemain. Et puis j’ai rencontré Lilian. Nous sommes en couple depuis douze ans et nous avons eu deux enfants. Bien que je ressente du plaisir et une attirance sexuelle très forte pour mon compagnon, je ne parviens pas à avoir d'orgasme. Je n'ai connu l'orgasme vaginal qu'une seule fois avec lui. Je n’arrive pas à avec une relation épanouie à cause de mon vécu. Bien que j’ai une entière confiance en Lilian qui prend en compte tous mes ressentis, j’ai pris conscience que mon blocage venait de la peur de perdre le contrôle, de ne plus rien maîtriser. Je suis terrifiée à l’idée que mon compagnon finisse par se lasser. Alors je fais mon possible pour le rassurer, en lui expliquant que même si je n’ai pas d’orgasme, j’éprouve du désir et du plaisir dans nos rapports sexuels. Face à l’absence d’orgasme, je me suis tournée récemment vers la sophrologie pour apprendre à lâcher prise dans des domaines qui ne sont pas de lié à la sexualité. J’ai besoin aussi de me réapproprier mon corps, d’arrêter de le maltraiter et d’en prendre enfin soin. Je pense que je peux arriver à dépasser ce blocage. Il est pourtant inutile de rechercher l’orgasme à tout prix. Cela n’a pas de sens. La sexualité est une affaire de rencontre et de partage émotionnel. Contactez les voyants du cabinet Etoile de Vénus au 0144885454 pour savoir si votre partenaire est celui que vous attendiez ou si l’amour va bientôt taper à votre porte.
Partir et ne plus jamais revenir. Cette envie n’a jamais traversé votre esprit ? Tout plaquer et laisser derrière vous un travail, un mari, des enfants, des amis ? Chaque année, ils sont 13.000 en France à sauter le pas, tirer un trait sur leur passé. Il y a Brice, Sylvie, Mathieu… et puis il y a Isabelle. Comme dans la chanson « Ce lundi là » de Michel Delpech, elle est descendue acheter des cigarettes et elle n’est jamais rentrée. Isabelle nous raconte le jour où tout a basculé. Nous vivions une période difficile Philippe et moi. Philippe avait perdu son emploi, il était tout le temps irritable et moi, je cumulais deux boulots pour arriver à joindre les deux bouts. J’étais au bord du burn-out. Et puis, il y a eu la dispute de trop… Je suis descendue acheter des cigarettes mais je ne suis jamais allée au tabac du coin de notre rue. C’est comme si une petite voix intérieure me disait "tu n’as pas à subir tout ça. Tu mérites mieux, pars et vis ! ». Je crois que c’est à ce moment là que j’ai vrillé. Comme un automate, j’ai pris le métro. Je me suis rendue à la Gare de Lyon et j’ai sauté dans le premier train. J’ai fait le truc le plus dingue de toute ma vie ! J’ai tout quitté en un instant : Paris, Philippe, notre appart, mon job, mes amis… Je ne savais ni où, ni combien de temps j'allais partir. Je n’arrêtais pas de pleurer. J’avais besoin de repos, de calme, de me ressourcer, de me recentrer sur moi, faire un point pour savoir ce que je voulais vraiment. J’ai loué une chambre d’hôte dans le Lubéron. C’est une région magnifique, je l’ai aimé dés le premier instant. Mes hôtes ont été d’une extrême empathie et gentillesse. Prévenants mais discrets à la fois. C’est surement ce qui m’a permis de m’ouvrir à eux petit à petit. Nous avons passé des soirées entières sur le perron du gîte avec Nadine à discuter, refaire le monde. Les soirées s’enchaînaient. Le temps s’était arrêté. Je me disais qu’il serait de plus en plus difficile de rentrer. Pourtant, l’idée de tout effacer et de tout recommencer n’est-elle pas qu'une illusion ? En réalité, ne se fuit-on pas soi-même ? Nadine m’a beaucoup aidé dans ce cheminement. Je me sentais à la fois bien dans cette région mais aussi coupable d’être partie sans donner d’explications à mes parents, Philippe et mes amis. Cela devait être une torture pour eux, écartelés entre la peur et l’espoir. Alors je les ai appelé, sans dire où j’étais. D’abord mes parents, puis Philippe. J’ai juste expliqué que je ne voulais plus de cette vie, que j’allais bien et que je ne reviendrai pas. Poser des mots m’a aidé à tourner la page. Je crois que nous sommes peu à en arriver là. Beaucoup partent mais reviennent. Pas moi. Nadine m’a proposé de gérer ses gîtes et c’est ce que je fais depuis 4 ans. J’aime ma nouvelle vie. J’ai trouvé une nouvelle famille ici, dans le Lubéron. La vie m’a mise Nadine sur ma route et je me dis que ce n’est pas pour rien. Elle m’a aidé dans ma transformation et je lui en suis reconnaissante. Je sais que Philippe m’a cherché longtemps. Il a même failli y arriver. J’ai appris qu’il avait fait appel à un radiesthésiste. C’est une personne qui recherche des disparus à l’aide d’une carte et d’un pendule. C’est ce qu’il a raconté à Nadine, le jour où il a débarqué ici, quelques mois après mon départ. Ce jour là, j’étais partie nettoyer les gîtes avant l’arrivée des prochains clients. Nadine a fait celle qui ne comprenait rien. Il s’est excusé, il a dit que le radiesthésiste avait du se tromper et il est reparti. Il n’est jamais revenu. C’est quand même incroyable cette histoire ! Il est en effet fréquent de faire appel à des radiesthésistes pour retrouver des personnes disparues. Ces recherches sont très spécifiques et demandent beaucoup de concentration, de rigueur et de précision. Chaque être vivant émet des vibrations qui peuvent être captées par le pendule. Contactez les voyants et médiums d’Etoile de Vénus qui utilisent le pendule pour en savoir plus ou poser vos questions.
Ne vous est-il jamais arrivé dans une relation amoureuse que votre partenaire vous compare sans arrêt à son ex ? Qu’est ce que cela vient toucher chez vous ? Anaïs en a fait les frais, elle nous raconte son histoire. J’ai rencontré Olivier dans le milieu professionnel. Le jour de son arrivée, nous nous sommes croisés dans un couloir. Il était grand, brun, élégant, pas vraiment mon style physiquement mais c’est son charisme qui m’a tout de suite charmée. Ne travaillant pas dans le même service, nous vous voyions occasionnellement lors de certaines réunions. Quelques mois après son arrivée, nous sommes partis sur un salon professionnel et c’est à cette occasion que nous avons appris à nous découvrir et que notre relation a commencé. Très vite Olivier m’a dit qu’il était encore très attaché à son ex. Il avait du mal à tirer un trait sur Valérie. Loin de m’alerter, j’ai voulu lui plaire à tout prix quitte à me perdre. Il m’achetait régulièrement des vêtements, il n’aimait pas mon style, il me disait que je n’étais qu’une femme enfant alors que Valérie, elle, c’était une vraie femme. J’avoue qu’au début, j’étais sensible à ces cadeaux et je les portais pour lui faire plaisir. Je me sentais plus belle à ses yeux en me travestissant. Malgré cela, ce n’était jamais assez. Il vantait sans cesse le physique de son ex : grande, brune, peau mate et un magnifique port de tête. Moi, je suis petite, blonde et ronde… rien à voir ! Valérie avait aussi bien d’autres qualités à ses yeux : elle était indépendante, intelligente et drôle. Lors de dîner entre amis, il me coupait sans cesse la parole, mes conversations ne semblaient pas l’intéresser ou alors il remettait sans arrêt mes arguments en question en lançant d’un ton lapidaire : « ah oui, parce que tu es avocat maintenant ! ». Quand je lui demandais pourquoi il était si dur avec moi, il me répondait "c’est pour t’améliorer ». Encore aujourd’hui je me demande pourquoi j’ai supporté autant de cruauté de sa part. Je pense que j’avais perdu toute confiance en moi à ses côtés à force d’être dénigrée quotidiennement et comparée à son ancienne relation qu’il avait complètement idéalisée. Il m’a fallu du temps pour sortir de cette relation toxique. Etre comparée à son ex était quand même une preuve qu’il y avait un vrai problème dans notre couple. Je ne sais pas s’il avait une réelle volonté de me nuire. Avec le recul, je pense plutôt que, c’est quelqu’un qui, sous ses apparences d’homme bien ancré, solide, n’a aucune confiance en lui. Il en est arrivé à me dénigrer, m’humilier pour que je perde confiance en moi peut être parce que finalement, j’étais tellement trop bien pour lui qu’il avait peur de me perdre. En effet, méfiez-vous, si vous sentez qu’il y a une véritable volonté de vous nuire lorsque votre partenaire vous compare à son ex. Il s’agit alors peut-être d’une personne toxique qui utilise ce type d’arguments pour vous faire du mal, vous rabaisser et entacher votre confiance en vous. Vous devez aussi vous inquiéter si vous avez l’impression qu’il est toujours amoureux(se) de son ex. Votre partenaire doit être honnête avec vous, soit il vous aime, soit il aime son ex. Il doit donc réfléchir et prendre une décision, car il peut difficilement vivre avec des sentiments amoureux flous entre vous et son ex. Enfin, pour vous aider à mieux comprendre cette situation et connaître l’avenir de votre couple, vous pouvez aussi contacter les voyants d’Etoile de Vénus et leur poser toutes vos questions.
Nous sommes profondément bouleversés par la disparition de notre Médium de renom, Anne-Lyse Lacourt. Naturelle et sensible, son sourire, sa voix et ses rires resteront gravés dans la mémoire de celles et ceux qui ont eu la chance de croiser son chemin. Elle a toujours pris plaisir à exploiter son don et à le partager avec vous. Elle restera une référence dans la profession. Nous sommes solidaires de sa famille et de ses proches dans cette épreuve douloureuse. Anne-Lyse, tu étais une belle âme et nous ne t'oublierons pas.
Sacha a découvert un lourd secret familial. Tout a basculé lors du résultat d’un test ADN commandé sur internet C’est parti d’un délire entre potes, nous raconte Sacha. Pour mon anniversaire, ils m’ont offert un test ADN de fratrie commandé sur internet. Il s’agit d’un test ADN de filiation entre frère et sœur qui permet de savoir s’ils partagent les mêmes parents biologiques et/ou la probabilité d’être frère et sœur biologiques. Mes amis m’ont souvent titillés sur le fait que nous ne sous ressemblions pas du tout avec ma grande sœur, ils ne croyaient pas si bien dire… Ma sœur et moi avons envoyé nos échantillons et nous avons reçu les résultats très rapidement, 7 jours après il me semble. Je m’en souviens comme si c’était hier : J’ai ouvert l’enveloppe sans même attendre ma sœur. Je n’avais aucune appréhension, après tout il n’y avait aucune raison. Et puis, la douche froide… L’expression le ciel vous tombe sur la tête a pris tout son sens. J’étais comme sonné. Les résultats révélaient un indice combiné de fraternité inférieur à 1, ce qui révèle une non parentalité. En clair, nous n’étions pas frère et sœur biologiques. Là, tout s’embrouille dans ma tête. Ma sœur est-elle adoptée ? suis-je moi-même adopté ? Avons-nous le même père ? la même mère ? Je n’ai pas pu garder mes interrogations bien longtemps. J’ai décidé de questionner mes parents. Mon père ne comprenait pas ce qui se passait, ma mère était en pleurs, ma sœur horrifiée. Mon père et ma mère ont commencé à se disputer, il criait, elle pleurait toujours mais restait dans un mutisme total. C’est lorsque mon père a dit qu’il allait faire un test de paternité que ma mère est sortie du silence. Elle a avoué avoir trompée mon père avant nos naissances respectives avec des hommes différents. En un instant j’ai appris que non seulement ma sœur n’était pas ma sœur biologique mais qu’en plus mon père ne l’était pas non plus. Notre famille n’a pas réussi à survivre à ce tsunami. Nos parents se sont séparés mais pour moi, mon père reste mon père et ma sœur aussi. Avec le temps, j’apprends à pardonner à ma mère. C’est d’avoir vécu dans le mensonge qui m’a le plus blessé. Ma sœur le vit différemment. Elle s’est mise en quête de retrouver son père biologique. Elle trouve ça « cool » comme elle dit d’avoir deux pères.
"Parfois, on a tout mais on se sent vide » nous raconte Stéphanie. J’avais une jolie maison, une belle voiture de luxe, des vêtements haut de gamme, un job correct et un mari aimant. Mes amies m’enviaient : nous voyagions beaucoup, nous avions une vie mondaine bien remplie. Pourtant plus les années passaient et plus je sentais un malaise augmenter au fond de moi. J’ai fini par perdre mon travail, ma boîte a été rachetée et j’ai été remerciée. Cet épisode m’a fait perdre confiance en moi. Je n’avais plus envie de me lever le matin, m’habiller me demandait un effort surhumain, j’ai commencé à me négliger, je ne mangeais plus et buvais plus que de raison. Mon couple en a souffert. Nous étions au bord de la rupture. J’ai fait ma première tentative de suicide quand Pierre m’a quitté. Je me suis sentie tellement seule, abandonnée avec cette angoisse dans le ventre et dans ma gorge. Je m’en suis sortie. J’ai voulu me reprendre en main, faire une cure. Mais mes vieux démons ont fini par me rattraper : l’alcool et cette fois, les médicaments en plus… Je n’étais plus que l’ombre de moi-même mais j’ai remonté la pente grâce à la bienveillance de ma famille. Et puis, j’ai rechuté, encore. Une autre tentative de suicide… puis une autre… et encore une autre… Je dois en avoir 7 à mon actif. Même me suicider, je n’y suis pas arrivée. En mars 2019, j’ai attrapé le COVID. D’un simple rhume, j’ai commencé à avoir une forte fièvre puis des problèmes respiratoires. Ce sont mes amis qui m’ont trouvé par terre, chez moi. J’étais dans le coma depuis quelques jours. J’ai été hospitalisé. Je me suis réveillée une semaine après sur un lit d’hôpital branchée à un respirateur. J’ai bien failli mourrir. La faucheuse n’a pas voulu de moi encore cette fois. Il a fallu que je réapprenne à manger, à marcher. Ma convalescence a été longue et douloureuse. Aujourd’hui encore je suis essoufflée quand je monte un escalier. Mais j’ai une furieuse envie de vivre, vraiment. C’est comme une renaissance. J’ai à nouveaux des envies, des projets. La vie est devant moi. Je suis dans la vie. Je peux vraiment dire que la vie commence le jour où on comprend que nous n’en avons qu’une !
Murielle est inconsolable depuis la mort de son père il y a 3 ans. Il a succombé à une longue maladie. Les médecins l’ont appelé pour la prévenir que la fin était proche mais Murielle est arrivée trop tard, son père était déjà parti. Depuis, elle regrette de ne pas avoir pu être à ses côtés pour l’accompagner dans son dernier voyage et lui dire encore combien elle l’aimait. Depuis que Papa est parti, j’ai une obsession : avoir un signe de sa part. Il y a plusieurs années, j’ai consulté un médium. Je me souviens qu’il m’avait dit que j’étais quelqu’un de « perché », une personne connectée avec des esprits. Son guide lui disait qu’on m’envoyait des signes mais que je ne les voyais pas. Alors depuis la disparition de Papa, j’ai pris l’habitude de lui parler à haute voix, je lui demande de m’envoyer un signe mais sans succès. Comme je cherche le moyen de pouvoir communiquer avec lui, j’ai entendu parler l'écriture automatique. Elle consiste à laisser l’esprit d’un défunt prendre possession d’une partie de votre corps, ici il faut le laisser prendre possession de votre bras pour qu’il puisse s’exprimer à travers l’écriture. Les mots écrits peuvent nous sembler dénudés de sens, il faut savoir lire entre les lignes pour comprendre les messages qui nous sont adressés. J’ai beaucoup lu sur le sujet et j’ai compris qu’il fallait une préparation physique et mentale suffisante pour se laisser guider par un esprit. Lors de ma première expérience d’écriture automatique, j’étais très nerveuse et je ne savais pas si j’allais arriver à rentrer en contact avec mon père. Je me suis longuement préparée avec des séances de méditation puis une fois que je me suis sentie prête, je me suis installée à mon bureau avec des feuilles et un stylo dans la main. Il faut se relaxer et essayer de rentrer dans un état second en pensant à la personne que vous souhaitez contacter, ça peut demander parfois une heure pour rentrer dans cet état. J’y suis arrivée au bout d’une demi-heure, je sentais mon corps mais j’étais aussi spectatrice. J'ai senti des fourmillements dans mon bras et de légères convulsions. A ce moment-là il ne faut surtout pas paniquer sinon l’esprit va s’en aller, et croyez-moi ce n’est pas évident ! Très lentement j’ai vu ma main commencer à écrire (une autre écriture que la mienne, c’est très surprenant), ma main était guidée, je me sentais confiante et nous avons pu échanger, je m’adressais à lui à voix haute et il me répondait par écrit. A la fin, je me suis sentie vidée mais aussi en paix, j’avais pu dire au revoir à la personne que j’aimais le plus. Les Médiums d’Etoile de Vénus souhaitent toutefois vous mettre en garde si vous souhaitez tenter cette expérience. Il faut être très prudent avec l’écriture automatique car vous pouvez être confrontés à un esprit malveillant. Certains esprits peuvent s'amuser avec vous en se faisant passer pour n'importe qui et vous répondre n'importe quoi. Il peuvent se manifester avec certains bruits, certains mouvements, pour tenter de vous effrayez. Il faut stopper la séance lorsque l'on a le sentiment de perdre le contrôle. Les esprits sont comme nous, ils peuvent être bons ou mauvais, sincères ou malhonnêtes… Le mieux est d'utiliser l’écriture automatique pour parler à un proche. Il le sentira et viendra à votre rencontre. Si vous utilisez l’écriture automatique sans penser à une personne en particulier, vous ne savez pas qui va venir à vous.
Lorsqu’elle était étudiante Béatrix a participé à une seule et unique séance de spiritisme et n’aurait jamais imaginé ce que cela pouvait engendrer. Nous étions jeunes et belles (rires), 4 copines étudiantes de 20 ans qui décident bêtement de s’amuser en invoquant des esprits. On s’est retrouvé chez Corinne à la fin de nos cours, on s’est installé toutes les 4 autour d’une table, on a découpé les lettres de l’alphabet qu’on a ensuite positionné en arc de cercle, au centre, nous avons mis les mots « oui » et « non ». Pour finir, nous avons déposé un verre au-dessus duquel chacune d’entre nous a positionné son index. Corinne a commencé à demander s’il y avait des esprits dans la pièce. Rien ne se passait et nous rigolions beaucoup. Au bout de quelques minutes, le verre a commencé à bouger. C’était trop bizarre. On se regardait toutes en se demandant laquelle d’entre nous faisait la blague de bouger le verre. Tout doucement le verre s’est dirigé vers le mot « oui ». Nous avons alors questionné l’entité pour connaître son nom. Le verre a bougé en direction des lettres ; R, A, S, P, O, U, T, I, N, E. A ce moment là, l’ampoule de la pièce a explosé et la machine à écrire de Corinne s’est mise à taper toute seule. Nous avons eu la peur de notre vie. Nous avons immédiatement arrêté la séance et chacune est rentrée aussitôt chez elle. Cela s’est passé il y 30 ans. Ma vie n’est pas facile, elle est semée d’embûches que j’arrive à surmonter mais qui me demandent de déployer une énergie incroyable. Il y a quelques temps, après avoir vécu une série d’évènements particulièrement compliqués, je me suis demandée si je n’étais pas envoûtée. J’ai fait appel à une connaissance pour un rituel de nettoyage. Elle est également Médium et donc connectée avec l’au-delà. Elle m’a confirmé que loin d’être envoûtée, j’avais seulement attisé la colère de certaines entités par une action passée, et pas de bonnes entités… Cela a tout de suite fait écho à cette seule et unique séance de spiritisme avortée. Elle m’a alors expliqué que lorsqu’on ouvre la porte, il est impossible de revenir en arrière, elle ne se referme jamais. Si j’avais su… J’ai souhaité témoigner pour dire de ne pas faire ce genre de chose. C’est dangereux. Mieux vaut passer par un Médium qui connaît parfaitement les rituels et qui est connecté. A bon entendeur !
Pierre est un jeune homme pressé de 36 ans issu d’un milieu aisé. En le voyant, on ne l’imagine pas du tout branché voyage chamanique dans une cabane perdue en pleine jungle amazonienne. Et pourtant... Il raconte. Depuis quelques années, j'étais accompagné par une thérapeute et cela m'a beaucoup aidé à voir et penser différemment mais j'avais besoin d'aller au-delà, de trouver un nouveau chemin spirituel. J’ai toujours cru en des énergies et des âmes non perceptibles. Il y a deux ans, lors d'un voyage en Amazonie, j’ai été invité à participer à des cérémonies chamaniques. Ces expériences m’ont transformé. Pendant trois jours, je me suis préparé avec un Chamane à travers des méditations, des huttes de sudation et des exercices pour expulser mes émotions. Puis il m'a conduit dans la jungle et m'a laissé seul dans une cabane en bois avec de l’eau et quelques pommes. Trois jours interminables, sans téléphone avec pour seul dérivatif à l’ennui un crayon et un carnet pour écrire. Les oiseaux venaient se poser sur moi, j'ai ressenti l'énergie de la nature et du vent. C'était comme si je ressentais le monde en vibrations. C’est l’expérience la plus dingue que j’aie jamais vécue. Le chamane est ensuite revenu me chercher pour la dernière étape : la cérémonie de l’ayahuasca. Il s’agit d’une liane d’Amazonie que l’on consomme en infusion. Le breuvage est considéré comme une drogue hallucinogène chez nous, il permet de faire travailler l’inconscient. La boisson a du mal à passer, son goût est immonde. Après une demi-heure, j’ai commencé à en ressentir les effets. ll faut apprendre à lâcher prise, des émotions remontent à la surface. Le but est de les comprendre et de les résoudre grâce à des visions. J’étais conscient tout au long du processus, j’avais l’impression d’être dans un rêve éveillé. J’ai fermé mes yeux et des images, des souvenirs ont défilé. Le chaman m'a ensuite aide à décoder la signification de mes visions. L’énergie est positive et une vague d’amour déferle dans la pièce. Pour moi, cela a été le moment le plus beau et le plus fort de la cérémonie. L’instant est magique. L’expérience a été intense, je ne m’étais jamais senti aussi bien de toute ma vie. C’est comme si une flamme s’était allumée en moi. Et depuis lors, je travaille mon côté spirituel pour qu’elle ne s’éteigne jamais.
Après deux fausses couches, Juliette n'aurait jamais imaginé pouvoir être un jour Maman. Pourtant une rencontre particulière va bouleverser sa vie. Voici son histoire : J'ai rencontré Jacques il y a 12 ans. Moi qui avait du mal à m'attacher à quelqu'un, avec lui, c'était une évidence, il était mon évidence. Je me suis très vite installée chez lui. Jacques était plus âgé que moi et avait deux enfants d'une précédente union. Nous vivions à quatre deux week-ends par mois et la moitié des vacances scolaires. J'avoue qu'au début, cela a été un peu difficile pour moi. Je ne savais pas vraiment comment m'y prendre avec des enfants. Je n'étais pas trop à l'aise et j'avais du mal à trouver ma place. J'étais heureuse mais les années passants, je ne sais pas si c'est l'horloge biologique mais mon envie d'enfant a commencé à se faire sentir. Je n'imaginais plus une vie sans être mère. Je n'ai pas eu beaucoup de mal à convaincre Jacques d'être à nouveau père, lui qui adore les enfants. Nous avons essayé pendant des années. Trois ans et demi sont passés et après deux fausses couches et différents traitement hormonaux, je me suis résolue à aller consulter une gynécologue qui semblait faire des miracles. J'ai été accueillie par une femme charmante et bienveillante. Le contact est tout de suite bien passé. Elle m'a parlé d'insémination et m'a dit qu'elle avait de bons résultats, que je devais lui faire confiance et qu'on allait y arriver tous ensemble. 9 mois après l'insémination, Maxime, mon bébé miracle est né. Tout s'est passé parfaitement bien jusqu'au jour de l'accouchement. Pourtant, j'ai été stressée pendant les sept premiers mois... Ma gynécologue me faisait des échographies chaque mois pour me rassurer et j'avoue que c'était merveilleux de voir son bébé grandir dans son ventre. Maxime est aujourd'hui un adolescent de 12 ans. Maxime est à haut potentiel et a parfois du mal à trouver sa place. Il a peu d'amis et ne se sent bien qu'entourés d'adultes tant les conversations de son age ne l'intéressent pas. Il est passionné d'astronomie et connait pratiquement tout sur le sujet. Il y a plusieurs semaines, j'ai rencontré par hasard cette gynécologue. J'avais besoin de savoir. Je lui ai demandé comment cela se faisait qu'elle réussisse 3 FIV sur 5 alors que ses confrères ont des taux de réussite bien en dessous. Son visage s'est illuminé. Elle s'est approchée doucement de moi et m'a confié qu'à chaque insémination elle faisait une prière : « dans la famille, nous sommes des passeurs d'âmes ». Je comprends mieux maintenant pourquoi j'ai l'impression que Maxime est une vieille âme. Il y a, en effet, des passeurs d'âmes qui sont là pour que les âmes des défunts s'élèvent et et d'autres pour les aider à se réincarner. Maintenant, j'ai compris.
Fidèle à ses rêves de petite fille, Camille, 32 ans, n'hésite pas une seconde lorsque, après trois ans de relation, Julien lui propose de l'épouser. Mais l'angoisse des cadres trop bordés va faire vaciller sa décision. Dans les bras de Julien, je vis le plus beau moment de toute ma vie. En vacances à l'Ile Maurice, tous les deux à cheval sur la plage, mon prince charmant vient de me demander en mariage en m'offrant une somptueuse bague ornée de diamants. Je me vois déjà en princesse dans ma robe de mariée, les invités, les enfants d'honneur, la pièce montée... Tout sera parfait, tel que je l'ai imaginé depuis si longtemps. De retour en France, je me sens pourtant bizarre. Quelque chose ne tourne pas rond. Tout le monde s'en amuse, voyant là "l'effet mariage". Je prends peu à peu conscience que ce n'est pas tout à fait moi qui ai accepté de me marier mais la fillette que j'ai été. Je suis déjà engagée avec Julien, je n'ai finalement pas besoin d'un consentement figé sur papier. Le mariage a lieu dans six mois mais, tétanisée à l'idée de perdre Julien et de décevoir mes proches, je fais un déni de mariage comme certains font un déni de grossesse. Le doute m'envahit. Je l'aime mais est ce que je l'aimerai toute ma vie ? Je me réveille la veille de mon mariage en suffoquant. Je panique. Je n'y arriverai pas. Je suis en larmes. Je me sens prise au pièce et je ne contrôle plus rien. Pourtant, je n'aurai jamais le courage de dire "non" devant le maire alors je vais bien me marier. Et puis, je me ressaisit lorsqu'une issue m'apparaît : je n'irai pas à ce mariage. Comment Julien aurait-il pu supporter de m'entendre lui dire : "Je t'aime, nous sommes heureux, gardons notre vie telle qu'elle est. Si on se marie, on va se perdre" la veille de notre mariage ? Alors je lui ai écrit une longue lettre dans laquelle je lui explique l'inexplicable, je fais ma valise et je m'en vais. Je suis libre mais j'ai perdu l'homme que j'aimais et mes parents ont refusé de me parler pendant des mois. J'apprends par nos amis que Julien va aussi mal que moi. Il refuse toujours de me voir. Un jour enfin, nous prenons un verre ensemble. Puis un dîner et nous partageons une nuit. Nous avons à nouveau emménagé ensemble et je me dis qu'un jour, je serai prête à sauter le pas. Si vous avez besoin d’y voir un peu plus clair ou d’en savoir plus sur votre avenir amoureux, contactez les voyants d'Etoile de Vénus qui répondront à toutes vos questions sur ce sujet.
C’est dans le milieu du travail que j’ai rencontré Betty. Cette jolie jeune femme timide a rapidement attiré ma sympathie par sa fragilité et son manque de confiance. Je suis d’une nature très empathique et toujours ouverte à venir en aide aux autres, trop souvent même et au détriment de mon bien être. Nous avons rapidement sympathisé. Betty vivait une histoire sentimentale compliquée et me demandait souvent des conseils. C’est de cette manière que je suis entrée pas à pas dans sa vie et elle dans la mienne. Très vite, elle m’a raconté son enfance douloureuse : un père absent, une mère alcoolique et des frères et sœurs dont elle devait s’occuper. Ses relations amoureuses chaotiques avec des hommes violents aussi. Je peux même affirmer aujourd’hui qu’elle vivait à cette époque, une histoire avec un pervers narcissique. Leur relation n’était pas saine et toxique. Elle me téléphonait le soir en larmes, je la consolais des heures au téléphone. Ayant moi-même vécu des années avec ce type de personnage et m’en étant sortie, je savais exactement quoi lui dire et quoi faire pour qu’elle sorte de son emprise. Elle subissait, elle souffrait, elle cherchait à s’en sortir mais l’emprise était telle qu’elle finissait toujours par revenir vers lui. J’ai passé 2 ans à accueillir ses émotions, l’écouter, la consoler, lui ouvrir ma porte, la conseiller en toute bienveillance, sans aucun jugement. Elle prenait de plus en plus de place dans ma vie. Il lui arrivait même de débarquer chez moi en pleine nuit avec sa valise et d’y rester quelques jours. J’ai commencé à me sentir trop envahit. Je n’avais pas réussi à mettre les limites avec elle et je m’en voulais. Syndrome du sauveur ? Je vivais également une période difficile à cette époque et je me suis rendue compte que notre amitié n’était en fait qu’à sens unique. Elle m’utilisait. Tout ne devait tourner qu’autour d’elle et de son bien-être personnel. Ne travaillant plus dans la même société, j’ai coupé tout contact avec elle. Je n’ai plus répondu à ses nombreuses sollicitations. J’avais besoin de prendre du recul et de me recentrer sur moi-même. Elle ne l’a pas compris. Elle m’en a énormément voulu. Elle m’a envoyé des SMS incendiaires en finissant par m’annoncer que notre amitié était terminée. Un soulagement pour moi. Je lui ai juste répondu que je n’étais pas tout à fait d’accord avec ses reproches mais que je comprenais son choix et que je le respectais. Une libération ! Cette histoire m’a permise de réfléchir sur ma manière d’être et de comprendre pourquoi j’attire systématiquement ce type de personne. J’ai compris qu’on ne pouvait pas porter le poids des autres. Je ne suis pas là pour réparer autrui, ni sauver le monde. Il y a des professionnels pour cela et qui font très bien leur métier. Aujourd’hui, je me sens libre et reste vigilante pour ne plus jamais vivre une amitié toxique.
Infirmière, mère attentive et pilier de son entourage, Justine avait toujours été celle à qui la vie sourit jusqu'à ce que la vie la pousse sur la pente de l'addiction à différentes substances. Je n'ai eu besoin d'aucun dealer pour sombrer, ni d'être sous l'emprise de quiconque si ce n'est de moi-même. Mon métier, ma vocation, a été mon meilleur fournisseur et j'ai été mon plus fidèle revendeur. J'avais tout sous la main. Les médicaments sont mon quotidien. Aussi, quand j'ai eu besoin d'un premier coup de pouce pour surmonter mon divorce, je n'ai eu qu'à me servir dans la pharmacie de l’hôpital. C'est l'affaire d'un tout petit mois, pas plus. Le temps de relever la tête, étais-je convaincue et puis… personne ne le verrait… Pourtant, le deuxième coup de pouce est venu rapidement, pour m'aider à garder le rythme : gérer la maison, les enfants, assurer au travail. Et puis, très vite mon sommeil s'est mis à me jouer des tours, j'ai à nouveau pioché dans ce que je connais par cœur pour ne pas être exténuée le matin et conserver mon discernement professionnel. Je n'ai jamais craint la dépendance, j'avais confiance en mes compétences. Du moins je le croyais… Je me couchais ivre de fatigue, parfois sans me déshabiller. J'ai alors renforcé ma dose quotidienne de psychostimulants. À peine levée, je me faisais un jus de légumes à l'extracteur pour colmater les gélules à libération prolongée. Ça marchait, j'avais le cerveau au taquet, je pouvais me concentrer des heures, l'esprit clair, sans cette fatigue qui broie les cervicales et ralentit la réflexion. Un temps, je me suis sentie terriblement bien, forte même. La lune de miel des addictions. Puis, un jour, une anxiété poisseuse m'a serré le corps. Les effets indésirables du détournement de médicament quand celui-ci ne traite pas la pathologie pour laquelle il est destiné. Je le savais, mais j'étais persuadée d'y échapper. Au lieu de me dire qu'il était temps de lâcher mes béquilles chimiques, j'ai pris un anxiolytique de plus. Jusqu'à ce matin de février 2015 où je n'ai plus eu la force de me lever. Cela faisait presque 1 an que je maltraitais mon corps en prenant des médicaments pour me réveiller le matin, pour le rester, pour conserver un discernement optimum, pour étouffer l'anxiété, pour dormir, pour sourire, pour dire bonjour. Avec l’aide de mes amis, de ma famille et de la voyante que je consultais à l’époque, j’ai réussi à sortir de cet enfer. J’ai pu rebondir. Aujourd’hui je me sens aussi bien dans mon corps que dans ma tête et cette période noire de ma vie est définitivement derrière moi.
Lorsque son mari lui offre son cadeau d’anniversaire, Alexandrine était loin de se douter que ce serait le dernier… Après 23 ans de vie commune, 3 enfants, l’amour que je porte à Eric est resté intact. Nous avons une vie un peu atypique puisqu’en raison de nos travails respectifs, nous vivons en semaine à des dizaines de kilomètres loin de l’autre et nous nous retrouvons tous les week-ends. Nous avons trouvé notre équilibre et sommes très heureux en couple. Pour mes 50 ans, Eric préparait depuis plusieurs semaines une grande fête. Il avait invité tous nos amis et toute la famille était réunie. Il avait vu les choses en grand. Il avait organisé une grande soirée autour de la piscine avec traiteur. C’était magnifique. Il y avait des tables rondes avec de grandes nappes blanches, une décoration à couper le souffle et le traiteur était juste divin, il proposait des spécialités de différents pays, petit clin d’œil à notre passion pour la cuisine et les voyages… Nous avons passé un moment délicieux et au moment du dessert, je vois Eric arriver dans notre jardin au volant d’un Combi Volkswagen. Un énorme ruban rouge l’entourait. C’était comme un rêve de gosse qui se réalisait. J’ai toujours eu envie de partir à l’aventure avec Eric à bord d’un Combi Volkswagen. C’est mon côté un peu bobo, je présume… A nous les week-ends en amoureux, plus rien ne pourrait nous arrêter ! Après la fête, Eric et moi, nous nous sommes directement envolés pour un road trip aux Etats Unis. Trois semaines de pure folie : Grands Hôtels, grandes tables, nous avons visités différents états, nous avons vu des paysages à couper le souffle, nous avons fait l’amour comme des adolescents. Que du bonheur ! Et puis, il a fallu rentrer… J’ai déposé Eric à la gare comme chaque dimanche soir. J’étais triste, je crois que je n’avais plus envie de cette vie-là finalement. J’avais envie qu’on soit ensemble, tout le temps et pour le reste de la vie. Alors le lundi matin, je lui ai téléphoné pour lui dire qu’on avait qu’à vendre la maison et que je venais enfin le rejoindre, lui qui me le demandait depuis des années. Il n’a pas eu la réaction que j’attendais… loin d’être euphorique à cette idée, il m’a répondu d’un ton neutre et sans appel que ce n’était pas la peine, qu’il avait une autre vie là-bas. Il était amoureux d’une autre femme avec qui il vivait une relation depuis 2 ans et il me quittait. Ce jour-là, j’ai compris l’expression « le ciel me tombe sur la tête ». Ma vie s’est écroulée à cet instant. Jamais je n’aurais pu imaginer une chose pareille, surtout après ce voyage magnifique qu’il m’a offert pour mes 50 ans. Je comprends aujourd’hui que ce n’était pour lui qu’un cadeau d’adieu. Si vous avez besoin d’être rassuré(e) sur l’avenir de votre couple, n’hésitez pas à consulter l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54, ils seront à même de vous éclairer.
Cible privilégiée d’une bande de garçons, Pablo a fini par tomber dans la phobie scolaire puis la phobie sociale. Il lui était devenu insupportable de vivre ces violences quotidiennes. Aujourd’hui, il raconte son histoire afin de faire tomber le tabou et l’omerta qui entoure trop souvent ce phénomène. Hypersensible, empathique et mis à l’écart parce qu’on me disait « bizarre », « extraterrestre » même, je suis toujours allé vers les enfants qui étaient rejetés par les autres, tout comme moi. Je me suis lié d’amitié avec un jeune turque, mis à l’écart en raison de ses origines. Il était devenu un de mes meilleurs amis. Les choses ont changé lorsque son cousin est arrivé en CP au primaire. Son comportement a changé. Il a commencé à me voler les affaires d’école : mes stylos, ma gomme, ma règle, mon équerre… Il disait que mes affaires étaient mieux que les siennes. Très vite, dans la cour, il a voulu jouer à la guerre avec son cousin et les amis de son cousin. J’étais leur cible. Moi qui déteste la violence, ils me courraient après, me plaquaient au sol et me donnaient des coups de pieds dans la tête, le ventre, les fesses et le sexe. Je serrais les dents, ne pleurais pas mais je me cachais à chaque récréation. Seul contre 8, impossible de se défendre, leur échapper était ma seule issue. Je n’ai pas perçu tout de suite l’ampleur de la violence, jusqu’où cela pouvait aller. Cela a duré jusqu’à Noël, jusqu’au moment où je n’en puisse plus. Et que ce ne soit plus tenable. L’idée de retourner à l’école après les vacances de Noël m’était insupportable. Alors j’ai craqué. J’ai tout raconté à mes parents, je criais, hurlais, j’étais incontrôlable, inconsolable. J’ai changé d’école. Un de mes harceleurs a rejoint ma nouvelle classe fin janvier… Aujourd'hui encore, cela reste compliqué pour moi. Ce que j’ai vécu continue d’avoir de lourdes conséquences. Quand on est victime de harcèlement, on culpabilise, on a honte de ce qui nous arrive. Il faut absolument se convaincre que ce n’est pas de sa faute. Que ce que l’on vit n’est pas normal, que l’on ne doit pas se sentir en insécurité à l’école, au collège ou au lycée. Au contraire : les élèves sont censés y être protégés, égaux et respectés. Pas jugés sur le physique, la façon de penser, ou de s’habiller. Personne ne mérite de vivre ça. N’oubliez pas que pour arranger vos problèmes, vous pouvez aussi compter sur les voyants d'Etoile de Vénus. Ils peuvent, en effet, vous aider à vos proches avec les membres de votre famille.
Je m’appelle Charlotte et depuis petite, j’ai toujours été très proche de ma grand-mère maternelle. Elle venait d’une famille d’aristocrates, avait été élevée dans un château, avait de bonne manières mais était également complètement hors cadre, un peu loufoque même. Du plus loin que je me souvienne, c’est ce côté-là qui me fascinait et m’amusait énormément. Je l’ai toujours connue malade, elle avait vaincu un cancer du sein mais se battait depuis des années contre un cancer des poumons. La douleur était constante et je me souviens qu’elle se plaignait inlassablement : « je souffre… ». Ces mots résonnent encore en moi. Très empathique, la voir souffrir me faisait beaucoup de mal. A l’âge de 9 ans, je pars pour la première fois en classe de neige une semaine. C’est pendant cette période que j’ai vécu une expérience bouleversante qui a changé, à tout jamais, mon paradigme de vie. Une expérience, qui des années après, me donne encore l’impression de l’avoir vécu la veille. Une nuit, je fais un étrange rêve. Je vois le visage de ma grand-mère entouré de fumée comme d’un fumigène. Elle est sereine, apaisée, sa coiffure est parfaite. Elle communique avec moi. Ces lèvres ne bougent pas, mais je comprends ce qu’elle me dit. Elle m’assure que tout va bien pour elle et que dorénavant elle ne souffrira plus jamais. Le lendemain matin, je m’interroge brièvement sur ce rêve étrange mais à 9 ans, on passe facilement à autre chose, la classe, le ski, les copines… De retour de classe de neige, dès que j’arrive à la maison, je dis à ma mère que je souhaite téléphoner à Grand-mère pour lui raconter ma semaine. J’apprends alors qu’elle est décédée et même enterrée. C’est à ce moment-là que je fais le rapprochement. La nuit de mon rêve est la nuit de son décès. Elle est venue me dire au-revoir. Elle m’a également prouvé que la vie après la mort existait. Je crois que c’est depuis ce jour que je suis en paix avec la mort. La mort ne me fait pas peur. Au contraire. Pour moi la vie sur terre n’est qu’un passage et autre chose nous attend ensuite. Quelque chose de bon, de serein, baigné de bienveillance et d’amour. Ayant échappé à la mort à plusieurs reprises de justesse, je suis persuadée que ma Grand-mère est mon ange gardien. Je pense aussi avoir une mission sur terre. A 48 ans, je ne sais toujours pas laquelle mais je pense que lorsqu’elle aura été réalisée, cette fois, je partirai pour de bon… Et vous, avez-vous reçu un signe d’un défunt ? N’hésitez pas à partager votre expérience ou à consulter un de nos médiums si vous souhaitez avoir un signe de l’au-delà.
Nous avons appris avec une immense tristesse la disparition de la célèbre médium parisienne, férue d’astrologie et amie, avec qui Etoile de Vénus a eu la chance de collaborer. A travers ce message, c’est l’ensemble de ses collègues et amis qui lui rendent un dernier hommage et poursuivent dans ses pas son art divinatoire et sa bienveillance légendaire. Elle restera à jamais dans notre cœur.
Nathalie n'a jamais éprouvé de sentiments amoureux pour un homme. A 36 ans, elle n’arrive toujours pas à se projeter avec quelqu’un mais rêve d'avoir des enfants. C’est toujours la même rengaine. Lorsqu’on se retrouve entre copines et qu’on se raconte nos histoires d’amour, j’ai vraiment du mal à les comprendre, j'ai l'impression de venir d'une autre planète. Quand elles sont amoureuses, elles s’arrêtent de vivre, elles deviennent complétement obsédées par la personne et plus rien d’autre n’existe. Quand il s'agit de rupture, je n’arrive pas à comprendre qu'on puisse se mettre dans des états pas possibles parce que notre mec nous quitte ou qu'il va voir ailleurs. Pour moi, c'est la vie, c’est triste certes mais c'est banal et puis… un de perdu, dix de retrouvés ! J’ai eu une relation une fois qui a duré de 2 ans. Tout le monde trouvait Yann formidable, mes amis, ma famille. Le problème c'était moi : je l'aimais bien mais c'était tout. Ce que je ressentais pour lui n'est jamais allé au-delà du désir physique et d'une certaine tendresse. Il est rentré dans ma vie comme il en est sorti, sans laisser de traces. Je n’arrive pas à m’attacher. J’ai parfois l’impression d’être froide à l’intérieur, de ne rien ressentir, d’avoir un cœur de pierre. J’ai souvent fait souffrir l’autre sans le vouloir. A l’inverse, lorsque j'étais quittée, c'est mon amour-propre qui était touché, jamais mon cœur. Pourtant, je pense sérieusement à fonder une famille. Je m’imagine mariée avec 2 enfants, c'est mon idéal depuis toujours. Le problème c'est que pour y arriver, je dois rencontrer un homme que j’aimerai vraiment au plus profond de mon cœur. Je suis peut-être trop idéaliste. Je mets la barre peut-être trop haute. C'est vrai que je suis exigeante, mais ça n'explique pas tout. En réalité, il n'y a que pour ma famille que j'ai de vrais sentiments, profonds et forts. Avec les autres, je n’y arrive pas. Je vais aggraver mon cas en disant que mes parents, forment pour moi le couple idéal. Ils sont toujours amoureux et s'admirent mutuellement. C'est l'histoire d'une grande passion. Je veux aimer le père de mes enfants comme ma mère aime mon père. Je vois Pierre depuis quelques semaines. Il est charmant, séduisant, au niveau physique ça se passe plutôt bien, mais bon… Je vais prendre le temps cette fois nous donner une chance. Mais que faire si rien ne se déclenche en moi ? Je n'ai pas envie de perdre mon temps non plus ! Je n'arrête pas de me poser des questions. J'idéalise certainement trop le sentiment amoureux ou alors je n'ai pas encore rencontré le bon… Si le témoignage de Nathalie vous a touché et que vous aussi vous attendez la rencontre avec votre âme sœur, consultez l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54 pour savoir si l’amour frappera prochainement à votre porte.
On parle souvent de burn-out chez les cadres ou les chefs d’entreprises. Je ne suis rien de tout ça. Je suis juste « assistante commerciale », ma vie de femme est très remplie entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Dans un contexte économique difficile, le monde de l’entreprise peut être une vraie machine de guerre, un bulldozer où les dégâts occasionnés peuvent être considérables. Ma boîte, comme beaucoup d’autres, est en difficulté. Il faut redresser la barre, travailler toujours plus, toujours plus vite, avec toujours moins de moyens humains et matériels. La pression de l’atteinte des objectifs est continue et pesante. On me distribue toujours plus de projets à mettre en œuvre avec des consignes qui changent tous les jours. Je prends cela pour une marque de confiance. Je m’investis et travaille sans relâche. Je suis perfectionniste et exigeante. Les objectifs l’entreprise deviennent peu à peu mes objectifs personnels. Je n’ai plus de recul. Je ne vis plus que pour mon travail, je ramène du travail à la maison pour « finir un dossier » et le rendre à temps. Mon stress qui monte crescendo, prend toute la place, jour et nuit. Je me réveille le matin toujours dans l’angoisse du travail qu’il me reste à accomplir. Je ne dors presque plus, je rédige mentalement, mes mails, les notes de services. Les dossiers s’amoncellent, ma boîte mail déborde. Je m’isole, je ne prends plus de pause-déjeuner. J’en oublie de manger. Mais je le fais pour la bonne cause : sauver la boîte et la fameuse reconnaissance sociale. Mais, finalement, avais-je vraiment la reconnaissance de ma hiérarchie ? Lorsque, j’ai commencé à réaliser que je n’étais qu’un pion pour eux, c’était déjà trop tard. Manquant de sommeil et d’une alimentation équilibrée, je maigris à vue d’oeil. La fatigue physique ne me quitte plus. A côté de cela, il y a ma vie de maman, les maladies infantiles auxquelles il faut faire face, les nuits saccadées, les devoirs, les repas, les activités… Je n’arrive plus à gérer. Je pleure avant d’arriver à mon bureau, je pleure le soir en rentrant chez moi. Je me dis sans cesse qu’il faut tenir, que demain, ça ira mieux, que je dois être forte, que de toutes façons, je n’ai pas le choix… Et puis un matin, je n’arrive plus à me lever. Mon corps dit « Stop ». Je reste alitée pendant 3 jours avant de décider enfin de me prendre en main et d’aller voir mon médecin. Je lui explique ma surcharge de travail, le stress, les crises d’angoisse et de larmes de ces derniers mois. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Il pose le diagnostic : je souffre d’un épuisement professionnel. Il m’explique le processus, pourquoi j’en suis arrivée là : la fatigue, la vie trop intense et stressante, le travail, les enfants, et l’oubli d’être soi, de vivre aussi pour soi, sans soupape de décompression. La chose la plus difficile au début a été d’accepter l’arrêt de travail. J’étais submergée de culpabilité. Je n’ai pas repris d’activité professionnelle. A ce jour, j’ai de nombreux projets mais ne parviens pas encore à décider entre franchir le grand saut de l’entreprenariat ou revenir dans une entreprise avec un emploi adapté à mes besoins professionnels et personnels. Parallèlement, je pratique maintenant des activités pour calmer mon stress : yoga et relaxation. Je remarque que les pratiques permettant de revenir aux sensations corporelles sont fondamentales. J’ai pris conscience que nous sommes responsables de notre santé, de notre corps et de nos comportements. Il est vital de passer du temps seul avec soi-même, de recontacter son corps, ses sensations, et par là même d’accepter la situation. Une fois que l’on accepte, on ressent moins de culpabilité, on se compare moins, la douleur est moins douloureuse, on accepte qui l’on est et ce que l’on traverse pour ensuite mieux se construire à partir de sa propre vérité. Mon mari me soutient évidemment à 100% dans cette démarche et je retrouve peu à peu le goût des choses. Si vous aussi vous êtes en souffrance au travail, consultez l’un de nos Voyants au 01 44 88 54 54 pour vous guider avec bienveillance et retrouver un bien-être durable.
Jamais Christine n'aurait imaginé qu'elle détesterait un jour Isabelle, la complice de son enfance, son double. C'est pourtant elle qui lui a volé son mari... "Non. Pas elle !" Depuis trois ans, régulièrement, ce cri jaillit en moi. Elle, c'est Isabelle, ma sœur jumelle. Avec Isa, c’était la fusion. Nous étions tout le temps ensemble, nous avions les mêmes amis, partagions les mêmes loisirs, les mêmes passions et passions nos week-end jamais loin l’une de l’autre. Il y a dix ans, j'ai rencontré Jérôme. Entre nous, ça a tout de suite accroché. Jérôme me donnait une énergie folle. Avec lui, je me sentais vivante. Avec Jérôme, nous nous éclations dans nos boulots respectifs, voyagions dès que nous le pouvions, et faisions de grandes fêtes avec nos copains. Isa était toujours là. Un jour, je me suis retrouvée enceinte. Nous en parlions depuis un moment, Jérôme avait envie d'un enfant. Isa s’est beaucoup impliquée dans ma grossesse. Elle était heureuse et aux petits soins. Elle passait le soir, dînait avec nous. Ma grossesse me semblait virtuelle, je n'étais pas fatiguée, tout allait bien jusqu'à ce que je fasse une fausse couche. Cet épisode douloureux a en quelque sorte sonné la fin de notre couple. Jérôme était dévasté. Isa m'entourait, me chouchoutait. Quand Jérôme rentrait du travail, il nous trouvait sur le canapé, enroulées dans des plaids, un verre de vin à la main en train de rire. Aujourd'hui encore, je m'accroche à l'idée qu'ils ne sont pas devenus amants à ce moment-là, je refuse d'y croire, mais je n'en suis pas sûre. C'est horrible. L'été, avec nos amis, nous avons loué une maison en Espagne, et Isa nous a accompagnés. Elle venait de rompre avec son copain et avait besoin de se changer les idées. Nous étions nombreux, nous faisions la fête tous les soirs. C'est peut-être aussi cet été que tout a commencé entre eux, je ne sais pas... Au retour, notre vie a repris son cours mais quelque chose avait changé. J'ai essayé, sans succès d'être à nouveau enceinte. Jérôme ne semblait plus aussi motivé par la paternité. Nous faisions moins de fêtes chez nous, voyagions moins. Jusqu'au jour où je me suis rendu compte que nous n'étions plus ensemble. Nous vivions l’un à côté de l’autre. Là, mon intuition s'est muée en certitude. Il avait une liaison. Jérôme était très souvent épuisé, irritable, il était ailleurs. J'ai cherché des "preuves". Sans succès. Alors je l’ai suivi à la sortie de son bureau. Je l’ai vu se garer en bas de chez Isa et j'ai su. J’ai attendu plus d’une heure dans la voiture. Puis, je suis montée, j’avais ses clés. Je me suis dirigée tremblante vers la chambre. Ils étaient au lit. Ils se sont redressés, paniqués et moi j’étais en pleurs. Je n'avais plus de mots, pas de pensées, juste un grand vide. Ma sœur, ma jumelle, mon double venait de me trahir. Je la hais. Il y a deux ans, j'ai rencontré celui qui est aujourd'hui le père de ma fille. Je l'aime, mais en moi quelque chose est cassé. Je reste méfiante, je fouille dans ses affaires, je consulte en cachette son mobile. Je ne peux pas m'en empêcher, et j'en veux encore plus à ma soeur pour ce qu'elle a fait de moi. J'ai encore beaucoup de colère et un chagrin infini. Comme si ma soeur était morte et que je ne pouvais pas la pleurer. Je ne crois pas que je lui pardonnerai un jour. Si comme Christine, vous avez des doutes sur la fidélité de votre amoureux(se), consultez l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54 pour lever tous vos doutes.
Kim, 22 ans, a été adoptée. Elle ne connaît rien de ses origines. Elle s'est habituée au flou qui entoure sa naissance. Jusqu'au soir où elle lance un appel sur Facebook. Née sous X, j'ai été adoptée à 4 mois, je suis d’origine vietnamienne. Ma mère et mon père sont des gens ouverts, des parents aimants et je suis leur fille unique. Ils ne m’ont jamais caché mes origines. Ils ont tout fait pour que j'aie une enfance heureuse et ils ont réussi ! Avec le temps et l’adolescence, c'est devenu plus compliqué. Mes amis me posaient beaucoup de questions auxquelles j'étais incapable de répondre. La colère montait en moi. Je ne pouvais pas comprendre comment une mère peu abandonner son propre enfant. Je suis devenue irritable, agressive. J’ai mené la vie dure à mes parents mais je crois que j’avais besoin d’en connaître plus sur mon passé et retrouver ma mère biologique, de savoir qui j’étais. Ce jour-là, je me sentais prête. J'ai ouvert mon Facebook. J’ai posté mon message. En cliquant sur « envoyer », j’avais la boule au ventre. Il est temps pour moi de mettre un terme à ces vingt et deux ans de questionnement, de flou et de colère. Il n'y a qu'une personne qui pourra faire cicatriser ces plaies intérieures : ma mère biologique. Peu de temps après avoir posté mon fameux texte, je commence à recevoir des notifications. Le coeur battant, je me connecte. Ma bouteille à la mer a déjà été partagée une centaine de fois. J'ai des dizaines de messages de soutien, de la part de mes proches, mais aussi de parfaits inconnus. J’ai aussi des messages moins sympathiques du style « Si ta mère t'a abandonnée, c'est certainement pour une bonne raison, alors, laisse tomber », message anonyme, évidemment. D’autres prétendent la connaître puis disparaissent dans la nature. Au bout du compte, aucune réponse fiable. Et puis un jour je reçois ce message : « Je suis la personne que tu recherches. » Je lis la suite, méfiante. L'inconnue me dit qu'elle est heureuse que j'aie cherché à la contacter. Qu'elle-même a essayé de le faire, il y a des années, auprès d'organismes officiels, mais qu'on lui a répondu : « Si vous ne l'aviez pas abandonnée, vous seriez avec elle aujourd'hui. » Alors, elle a renoncé. Et, aujourd'hui, elle me laisse la recontacter si je le souhaite. Immédiatement, j'ouvre son profil, je regarde sa photo. Je trouve une ressemblance certaine : ces yeux en amande, cette peau mate... Je relis le message cent fois. Je le trouve plus sincère que les autres. C'est inexplicable, mais je sens que c'est elle. Pour en avoir le cœur net, je lui pose les mêmes questions qu'aux autres. J'avais gardé pour moi certaines informations que seule ma vraie mère biologique pouvait connaître : cette fois, tout concorde. Nous n'en revenons pas, ni elle ni moi. Des deux côtés de l'écran, l'envie de pleurer est aussi forte que celle de sauter de joie. Depuis, nous n'avons plus arrêté de nous écrire. Enceinte de moi à 16 ans, ses parents l’avaient obligé à accoucher sous X et à abandonner son enfant. Elle m’a avoué avoir pensé chaque jour à moi. Très vite, nous avons décidé de nous voir et de rattraper le temps perdu. Vingt et deux ans après ma naissance, on tombe dans les bras l'une de l'autre. Instantanément, la conversation reprend là où nous l'avions laissée, la veille. Aujourd'hui, nous nous parlons tous les jours. Elle fait partie de ma vie, moi de la sienne. Mes parents adoptifs respectent cela et je leur en suis reconnaissante. Aujourd’hui, j’ai 2 mamans et un papa. Si comme Kim, vous avez besoin d’en connaître plus sur vos origines, consultez l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54, ils seront à même de répondre à vos questions.
En se créant un profil en ligne pour « tester son jeu de séduction » après onze ans de mariage, Chloé était loin d'imaginer d’y trouver son mari… Les aventures pour le sexe ne m'intéressent pas, je suis fidèle et heureuse en couple mais j’avoue avoir toujours été intriguée par les sites de rencontres. Curieuse, j’avais envie de voir, de ne pas mourir idiote. Alors j’ai fini par sauter le pas. Je me suis inscrite, j’ai posté une photo de profil de dos, trop peur d’être reconnue par un collègue, ami ou famille. Ce qui m'amusait, c'était de tester mon jeu de séduction, rien d’autre. Après onze ans de vie commune et trois enfants, on vit inévitablement dans la routine et les jeux de séduction me manquaient un peu. Lorsque je m'inscris, on s’aime, on mène une existence un peu plan-plan certes, mais on est bien. On a du désir l’un pour l’autre et physiquement, cela se passe plutôt bien. Le site était convivial et les échanges sympas. J’ai reçu des coups de cœurs et des messages. En effectuant une recherche par ville, je suis tombée sur une liste d’hommes proches de chez moi. Et là… c’est le choc. Parmi ces hommes se tenait mon mari, Laurent, tout sourire, même pas grimé ! Son profil disait « heureux en ménage, je cherche à pimenter mon quotidien ». J’étais comme pétrifiée. Le salaud ! Et dire que je n'ai rien vu ! Je tournais comme un lion en cage. Que faire ? Laisser exploser ma colère et l’appeler ? Le contacter sur le site et lui fixer un rendez-vous pour un flagrant délit ? Oublier toute cette histoire ? Notre couple n'était pourtant pas à l'agonie, loin de là. Je voulais encore croire en notre amour. Le site était sûrement un signal d'alarme, on pouvait rectifier le tir, c’était sûr. Alors, je suis passée le chercher à son travail et je l’ai invité à dîner, comme ça, pour rien. Toute la soirée, je lui ai tendu des perches « tu m’aimes ? », « est-ce que tu me désires toujours autant ? », « si tu me trompais, tu me le dirais ? »… Il a fini par m’avouer qu’il trouvait que nous nous étions laissés aller avec le temps. Je dois avouer qu’il n’avait pas tout à fait tort ! Pour la première fois depuis longtemps, nous avons parlé de nos envies respectives. Lui, souhaitait me voir plus désirable, que je prenne plus soin de moi et moi, je voulais qu’il me fasse rêver à nouveau. Depuis, nous avons fait des efforts chacun de notre côté et je pense que nous avons passé le cap. Je n’ai jamais évoqué l’épisode du site de rencontre. Pourtant, je vais de temps en temps voir s’il a réactivé son profil sur le site. Pour le moment, rien à signaler ! Si vous avez besoin d’être rassuré(e) sur l’avenir de votre couple, consultez l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54, ils seront à même de vous éclairer.
Je ne suis pas née avec le bon sexe. Je me suis toujours sentie enfermée dans ce corps qui ne me ressemblait pas. J’étais Alexandre, je suis aujourd’hui Alexia. L’image que le miroir me renvoie est enfin en accord avec celle que je suis vraiment. Dès l’adolescence, cette tension entre intérieur et extérieur était insupportable. Le mal-être, l’impression de mauvaise distribution des rôles augmentaient. J’étouffais, je rejetais ce corps qui m’était étranger. Lorsque j’ai parlé à mes parents de ma volonté de subir une opération de réattribution sexuelle, ça a été le choc. D’une certaine façon, sans le verbaliser, ils ont toujours su ce qui se passait en moi, mais de là à y être confrontés… C’était trop. Ma famille m’a rejeté et toute cette étape de transformation, je l’ai vécue seule. J’ai été suivie par un psychiatre, un endocrinologue, puis j’ai obtenu un rendez-vous avec un chirurgien qui pratiquait cette opération. Pour certains, le parcours est assez chaotique, moi, j’ai eu de la chance, tout est allé très vite. C’était une période de ma vie plutôt étrange, j’avais l’impression d’être en suspens entre deux zones. Il y aurait clairement un avant et un après. L’opération, j’y suis allée seule. Je ne connaissais personne qui était passé par là et je n’étais pas entrée en contact avec des associations ou des groupes de parole. C’était douloureux bien sûr. J’étais déterminée, pressée même de devenir Alexia. Enfin. Pour tout ce qui concerne l’aspect légal et administratif, une fois encore, cela s’est déroulé sans encombres grâce à l’aide d’un ami avocat. J’ai obtenu de papiers d’identité féminins, fait refaire mes diplômes pour qu’ils portent mon prénom, et j’ai entamé ma nouvelle vie. Aujourd’hui, pour mes amis, mes collègues, mon amoureux, je suis Alexia. J’aime être jolie voire sexy. Je suis ultra-féminine. J’assume pleinement ce corps qui est enfin mien. Je porte des jupes, des robes moulantes, des talons hauts, je me maquille et porte les cheveux longs. Si on regarde bien, mes mains dévoilent sans doute des choses sur moi, elles sont peut-être grandes… Mais je m’en fiche. Le regard des autres est plutôt bienveillant et, de toute façon, si l’on me fait des remarques, j’ai des répliques à dégainer. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds ! J’ai un travail, un appartement, un amoureux. Je peux enfin dire qu’après des années de souffrance, je suis enfin heureuse. Si le témoignage d’Alexia vous a touché, si vous vous sentez aussi différent(e) et que vous pensez, vous aussi, avoir droit au bonheur, consultez l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54 pour savoir ce que l’avenir vous réserve.
Que ressent-on quand la vie nous quitte ? Audrey, 50 ans, a vécu un moment qui a bouleversé sa vie. Mon accident m'a fait découvrir une autre dimension, celle qui prend le relais de la vie terrestre : l'au-delà. C’était un dimanche, nous partions pour un repas de famille, mon mari, ma fille et moi. Benjamin amorce un mouvement pour doubler mais au même moment le camion qui nous précède déboîte. Tout va alors très vite : Benjamin, pour l'éviter, donne un coup de volant, notre voiture s’encastre alors dans un arbre. Ma fille s'en tirera avec quelques fractures et mon mari se trouve, comme moi, entre la vie et la mort. Prisonnière de la tôle froissée de notre voiture, j'étais en train de mourir. Le silence est total. Je suis à quelques mètres au-dessus de l'accident, je vois notre voiture, écrasée contre un arbre, les pompiers, l'ambulance, des corps transportés sur des civières. Lorsque je reconnais ma fille, je me sens comme aspirée par une tornade. Mon ascension est fulgurante, j'en ai le vertige, je suis une fusée humaine. Je ne pense à rien, je n'éprouve aucune émotion, je suis réduite à une sensation. Puis tout s'arrête brusquement. Je me retrouve dans une merveilleuse prairie d'un vert éclatant, sans équivalent sur Terre. J'ai aussitôt senti que cette herbe était vivante, dotée d'une conscience. Les mots me manquent pour expliquer cette sensation. Du fond de la prairie, une silhouette glisse vers moi, ni homme ni femme, c'est une présence plus qu'un être. Je ressens sa paix, sa joie qui m’emplie de bonheur à mon tour. Je suis submergée par cette sensation incroyablement forte et par une vague d'amour indescriptible, un amour absolu. J'éprouve une sérénité infinie, une béatitude certaine, l'extase même, avec la sensation d'être enfin revenue dans ma vraie demeure. Cet être me dit que ma vie est précieuse, et que je dois repartir, que ce n’est pas mon heure, ma fille a besoin de moi. Je sens qu'il me raccompagne d'une main douce mais ferme. Je commence alors à avoir froid, j'éprouve un grand inconfort. Brutalement, tout s'est arrêté, j'ai réintégré mon corps sur Terre. Ce fut très désagréable et violent de quitter cette réalité merveilleuse en se réveillant en souffrant le martyr sur un lit d’hôpital. J'apprends que je suis restée dans le coma pendant trois jours après avoir fait un arrêt cardiaque dans l'ambulance. Mon mari et ma fille s’en sont sortis. J'ai compris que, dans la vie, rien n'est vraiment grave, pas même la mort, qui est seulement la fin de notre corps physique. L'important est de vivre pleinement et de s'aimer suffisamment pour aller vers ce qui nous fait vibrer et nous procure de la joie et de la plénitude car c'est cela, vivre vraiment.
Je m’appelle Judith, j’ai 43 ans et j’ai un haut poste dans une agence de communication très connue sur Paris. Ma carrière a toujours été une priorité et laisse peu de place à des aventures sentimentales. Je travaillais sur un dossier important lorsque le Chef d’agence me propose de prendre en stage un étudiant pour m’aider dans ce nouveau projet. Moi qui, d’habitude n’aime travailler qu’en solo, je finis par accepter. A l'agence, j'ai un collègue qui adore tirer les cartes. Un matin, je lui lance : "Tiens, je vais avoir un stagiaire !" Il étale son jeu : " Ça va être l'homme de ta vie. Vous allez avoir des enfants ensemble". Le premier jour, Luka arrive en costume-cravate. Il est très beau, élégant et a beaucoup de charisme. Très efficace aussi. Tout de suite, le courant passe. Lorsqu'on déjeune ensemble, je suis surprise par sa maturité. Il n'a que 24 ans, et pourtant, il a des idées novatrices et originales sur tout. Je sens aussi à certains signes que je ne lui suis pas indifférente. Il est attentionné, intimidé quand il me parle. Je suis célibataire, mon job est ma priorité. J'arrête vite de me faire des films. Je me dis qu'à mon âge je suis ridicule, qu'il pourrait passer une soirée avec moi mais que cela ne durerait pas. Les deux mois de stage passent comme un éclair. Le dernier jour, je dois faire un aller-retour en Province. Je vais rentrer tard et j'ai peur de ne plus avoir de taxi à la gare. Il propose de venir me chercher. Je l'invite à prendre un verre. Dans la rue, comme je le taquine, il me prend dans ses bras et on passe ensemble une nuit extraordinaire. Son stage est fini. On se voit les week-ends et on s’installe très vite ensemble. J’ai trouvé un nouvel équilibre dans ma vie. Avant, je n'arrivais pas à m'épanouir avec les hommes. La différence d’âge nous importe peu. Si le témoignage de Judith vous a touché et que vous pensez, vous aussi, avoir droit au bonheur, consultez l’un de nos Voyants/Médiums au 01 44 88 54 54 pour savoir si l’amour frappera bientôt à votre porte.
Il y a quelques années, j’ai consulté pour la première fois une voyante. C’est un ami qui m’en avait parlé : « elle est incroyable ! tout ce qu’elle m’a dit est arrivé. Sabine, tu devrais essayer ». C’était une période de ma vie où je me posais beaucoup de questions tant au niveau personnel que professionnel. J’étais à un carrefour de ma vie, je devais prendre certaines décisions et je me sentais un peu perdue. Je suis sortie troublée de cette consultation… Avec mes collègues de bureau, j'ai pris l'habitude de jouer au Loto chaque vendredi. Au fil du temps, je continue seule ce petit rituel. Je vais acheter mes cigarettes et je joue toujours les mêmes numéros dans le petit tabac du coin de la rue. Et puis… le miracle a lieu. C’était un vendredi 13. Comme l’oublier… Nous sommes le dimanche et je vérifie les résultats sur mon ordinateur. Là c'est le choc. A un chiffre près, mes numéros s'étalent dans l'ordre. Je n’arrive pas à y croire, je ne crie pas, je reste figée à égrener les nombres comme si je récitais une prière... et les larmes coulent, des larmes de joie. J'ai 34 ans et je suis riche de plus de 10 millions d'euros. Cette prédiction, des années auparavant, j’avoue ne pas avoir osé y croire. Je prends conscience désormais que tout ne sera plus jamais comme avant… La vie de Sabine a basculé un vendredi 13. Pourquoi pas la vôtre ? Consultez notre équipe de voyants au 01 44 88 54 54 et bénéficiez de la promotion -20% sur votre consultation, du vendredi 13/09 au dimanche 15/09 valable une fois avec le code V13.
Moi, Pauline, j’ai rencontré l’homme de ma vie grâce au co-voiturage J’ai reçu mon affectation au mois d’août. Moi, la petite bordelaise, j’allais être prof dans un lycée de banlieue parisienne. J’avais du mal à me faire à la vie parisienne et chaque fin de semaine je rentrais sur Bordeaux. Mes amis, ma famille mais surtout Eric me manquait. Eric et moi étions ensemble depuis 5 ans. Il avait son entreprise sur Bordeaux, impossible pour lui de venir me rejoindre. Mon amie Marie m’a parlé du co-voiturage. Je ne savais pas encore que cette solution allait mettre sur mon chemin l’amour de ma vie. Le concept m’a tout de suite séduite. Je suis très vite devenue une passagère chevronnée. J’aimais bien cette façon de faire des rencontres, comme si les personnes prêtes à partager leur voiture avaient en commun une ouverture au monde supérieure à la moyenne. Il y avait de tout : des plombiers, des banquiers, des étudiants, des personnes âgées. Une fois, j’ai même eu droit à un Paris-Bordeaux en Porsche ! C’était autour du 14 novembre, il y avait de fortes pluies. J’avais vraiment une peur bleue de faire un si long trajet sous des trombes d’eau. Loup, le conducteur, avait demandé galamment aux deux autres passagers de me laisser passer devant. La pluie nous a accompagnés tout le long du chemin, les autres passagers ont fini par piquer du nez, j’étais quasiment en tête à tête avec Loup. J’ai toujours trouvé très intimes les moments qu’on partage quand on roule de nuit, et j’étais troublée par le silence qui s’était installé. C’était pourtant paisible, facile, comme si on se connaissait depuis longtemps. A deux reprises, nous nous sommes tournés l’un vers l’autre en même temps. On a souri, on en a ri. Sans rien dire. Oui, troublant… Arrivés à destination, on s’est quitté sous la pluie avec un « A la prochaine ! » empressé. J’ai retrouvé Eric, j’ai tâché de m’enlever Loup de la tête, en vain. Il avait pourtant évoqué sa copine, je m’étais montrée peureuse et c’était à peine si j’avais prononcé dix mots. Malgré tout, je songeais à ce silence si intime qu’on avait partagé, à nos regards échangés, à son corps musclé. Avec Eric, la distance faisant, ce n’était plus comme avant. Je le trouvais de plus en plus distant. Le week-end n’avait pas été fantastique, on s’était accroché à plusieurs reprises. Mes visites se sont petit à petit espacées. Pour les vacances scolaires, j’ai bondi sur l’ordinateur pour voir si « quelqu’un » proposait un trajet Paris-Bordeaux. Yes !!! Loup proposait ses services et avait encore de la place. J’étais excitée à l’idée de le revoir. J’ai passé le trajet sur la banquette arrière, je ne voyais que son épaule et l’arrière de son crâne. Une ou deux fois, nos regards se sont croisés dans le rétroviseur, petit rappel douloureux de notre intimité fugace de la première fois. Autant dire que dalle. Dépitée, j’ai dit en quittant la voiture : « quand tu seras sur Paris, fais-moi signe » Malgré moi, je continuais à penser à lui, à ses mains sur le volant, à sa façon de sourire avec les yeux. J’avoue, je vérifiais ses trajets sur le site de co-voiturage. Dix jours plus tard, texto : « Il pleut, il pleut, bergère. Je rentre à Paris dimanche, besoin d’un trajet sous la pluie ? » Pfff, si ce n’était que réduire ses frais qui le motivait... « Désolée, je ne suis pas à Bordeaux, suis restée sur Paris. Mais merci ». Il m’a répondu : « tu veux qu’on se croise cette semaine ? » Immédiatement suivi d’un « Ou ce soir ? » Oh, on s’est croisés, et plus que ça… Il m’a dit qu’il avait craqué dès que j’étais entrée dans sa voiture, mais qu’il avait à l’époque, une copine bordelaise et qu’il n’avait pas voulu « merder ». Ça fait maintenant 2 ans que Loup et moi vivons ensemble. Si on m’avait prédit que je rencontrerai l’homme de ma vie grâce à un site de co-voiturage, j’aurais surement bien ri ! Si le témoignage de Pauline vous a touché, si vous vous dites que vous avez-vous aussi droit au bonheur, alors n’hésitez pas à consulter l’un de nos voyants médiums. Ils vous guideront et éclaireront votre avenir.