Une séance de REIKI m’a libérée d’un traumatisme passé

Comme beaucoup de femmes, Corinne est complexée par sa récente prise de poids de ces derniers mois : ménopause, télétravail, stress et sédentarité ont eu raison de sa balance ! Elle ne s’habille plus, se maquille peu, ne voit plus ses amis et sort occasionnellement de chez elle. Elle s’isole peu à peu et sombre dans la déprime. Pourtant une rencontre va bouleverser sa vie. On ne peut pas dire que je mange beaucoup mais rien qu’à regarder un gâteau, je prends un kilo ! Après avoir tenté bon nombre de régimes, fait le yoyo une grande partie de ma vie, sous l’impulsion de mon mari, J’ai fini par aller consulter une naturopathe. On discute longuement, je comprends d’où vient mon problème de poids et pour la première fois de ma vie, j’ai l’impression que cette femme naturopathe va vraiment pouvoir m’aider. Il y a quelque chose qui s’est passé dans les premières minutes de notre entretien. Je me suis sentie comprise et en totale confiance. Elle m’a proposé une séance de REIKI pour en quelque sorte, faire un scan de mon corps et se rendre compte de l’état de mon foie, sûrement fatigué par la prise récurrente de médicaments contre la migraine. Je n’avais jamais fait de REIKI ni aucun autre soin énergétique mais je suis très ouverte à tout cela. J’ai bien entendu accepté cette proposition. Ses mains étaient pourtant à distance de moi mais j’ai immédiatement ressenti une chaleur extrême, comme si ses mains étaient en feu. Elle m’a expliqué que mon niveau d’énergie était très bas et que je venais prendre son énergie sans qu’elle me la donne. Lorsqu’elle a posé ses mains au-dessus du Chakra plexus solaire, j’ai ressenti une vague d’émotions intenses et j’ai beaucoup pleuré. Elle m’a encouragé à libérer mes émotions, ne pas me retenir, me laisser aller. Elle m’a demandé si j’avais été opérée au niveau du nombril car elle percevait une fuite d’énergie à ce niveau. Effectivement, j’ai eu une célioscopie il y a quelques années ! alors symboliquement, avec de grands gestes lents et élégants, elle m’a recousu au niveau du nombril avec une pointe de cristal de Roche. Elle m’a dit que je n’étais pas seule. Dés qu’elle a posé les mains au-dessus de moi, elle a une image qui lui est apparue immédiatement. Elle a vu un viel homme de dos, tenant à la main une petite fille. Cet homme portait une casquette comme les paysans. J’ai reconnu mon grand-père paternel, décédé il y a quelques années. Je lui ai demandé de me décrire cette petite fille. C’était le stéréotype de la petite fille : cheveux longs blonds et bouclés avec un nœud, une petite robe. Je ne voyais pas qui pouvait être cette petite fille. Mon enfant intérieur ? et puis, cela a été comme une évidence. C’était mon bébé, ma petite fille que j’ai perdue il y 15 ans et qui n’est pas arrivée à terme. Je n’arrivais pas à arrêter de pleurer. Elle m’a demandé si je voulais qu’elle lui pose la question. La petite fille n’a pas répondu. Elle s’est juste retournée et a souri. Un grand sourire, le plus beau des sourire. C’était elle, j’en suis sure. C’est évident. Je l’ai tant pleuré il y 15 ans et je pense toujours à elle. Je sais maintenant qu’elle m’accompagne chaque jour. La douleur va pouvoir enfin se transformer en quelque chose de doux et de beau.


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